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Le : 18/01/2008 19:07
A Michel Such
le terme de "moutchou" n'a rien de péjoratif dans notre language de BEO.
J'ai toujours entendu mes parents et les habitants de notre faubourg les appeler ainsi.
Il me semble qu'à l'époque les intéressés, eux memes, s'en souciaient peu, c'était passé dans " le parlé " populaire.
C'est certain que tous les membres de cette "grande famille d'épiciers" étaient originairse du M'ZAB et doivent, donc, se nommer Mozabites.
DONT ACTE !
Je ne le ferai plus , ma parole , j' te jure et je crache par terre.
Freddy
le terme de "moutchou" n'a rien de péjoratif dans notre language de BEO.
J'ai toujours entendu mes parents et les habitants de notre faubourg les appeler ainsi.
Il me semble qu'à l'époque les intéressés, eux memes, s'en souciaient peu, c'était passé dans " le parlé " populaire.
C'est certain que tous les membres de cette "grande famille d'épiciers" étaient originairse du M'ZAB et doivent, donc, se nommer Mozabites.
DONT ACTE !
Je ne le ferai plus , ma parole , j' te jure et je crache par terre.
Freddy
Le : 18/01/2008 18:39
une bonne fois pour toutes, peut-on écrire mozabite à la place de mout... Sur le site à Christian, personne ne dit youp..., bic...,... Alors c'est promis??? MOZABITE; MOZABITE; MOZABITE....
Michel
Michel
Le : 18/01/2008 15:32
Je me souviens de la GOUTTE DE LAIT, nous avons eu l'avantage d'y aller quelquefois, mon frère et moi, accompagnés de ma mère. Autant que je me souvienne les soeurs nous donnaient du lait à boire sur place et également pour emporter.
Ce devait etre dans les années 43 ou 44.
En restant sur ce coin de BEO, qui se souvient du fabricant de cages d'oiseaux (un tout petit artisan).
Son atelier se trouvait dans le passage à moitié goudronné et l'autre encaillassée, qui partait devant l'immeuble du 68 avenue de la Bouzaréa pour "descendre" sur la rue Léon Roches (passage uniquement praticable à pied).
l me semble que ce monsieur était espagnol et tout le monde le surnommait : "EL TIO D'ELS PARDALETS".
Revenons face à la goutte de lait où nous trouvions, entre- autre : la boulangerie CLAPEZ, d'ou "sortaient" tous les jours d'énormes plaques de calentita posées sur un genre de poussette qu'un employé, ou un parent, de la boutique "promenait" dans tous le quartier.
A l'aide d'un couteau de peintre lui servant de moyen d'appel (en frappant sur les toles), et, également lui servant à découper les parts du succulent et brulant "gateau de farine de pois chiches".
Dans le meme secteur se trouvait, également un "moutchou" dont la grande spécialité était " la construction" de magnifiques tours soit de tablettes de chocolat ou de boites de lait, enfin de tous produits "empilables".
Enfin je citerai l'atelier/boutique du grand père CASAGRANDE, grand "SPARDEGNERO" parmi les grands.
Il vous fabriquait, en quelques heures de confortables et très solides espadrilles "sur mesure".
Mon frère et moi avions droit à une paire chacun tous les débuts d'été, espadrilles payées, exceptionnellement, par notre grand-mère maternelle, sans doute en souvenir de son pays d'origine !
S i je ne me trompe pas Mr Casagrande était le grand père de la famille, du meme nom, qui habitait à la rue Taine.
Toujours dans le coin et en descendant vers le marché, nous ne pouvons oublier le CAFE DE BARCELONE, haut lieu de l'apéro, de la kémia, de la ronda eu du six mora.
Voilà j'ai fait le tour de ce petit bout de BEO, tout étant parti de la GOUTTE DE LAIT pour aboutir AU VERRE DE CRISTAL !
FREDDY
Ce devait etre dans les années 43 ou 44.
En restant sur ce coin de BEO, qui se souvient du fabricant de cages d'oiseaux (un tout petit artisan).
Son atelier se trouvait dans le passage à moitié goudronné et l'autre encaillassée, qui partait devant l'immeuble du 68 avenue de la Bouzaréa pour "descendre" sur la rue Léon Roches (passage uniquement praticable à pied).
l me semble que ce monsieur était espagnol et tout le monde le surnommait : "EL TIO D'ELS PARDALETS".
Revenons face à la goutte de lait où nous trouvions, entre- autre : la boulangerie CLAPEZ, d'ou "sortaient" tous les jours d'énormes plaques de calentita posées sur un genre de poussette qu'un employé, ou un parent, de la boutique "promenait" dans tous le quartier.
A l'aide d'un couteau de peintre lui servant de moyen d'appel (en frappant sur les toles), et, également lui servant à découper les parts du succulent et brulant "gateau de farine de pois chiches".
Dans le meme secteur se trouvait, également un "moutchou" dont la grande spécialité était " la construction" de magnifiques tours soit de tablettes de chocolat ou de boites de lait, enfin de tous produits "empilables".
Enfin je citerai l'atelier/boutique du grand père CASAGRANDE, grand "SPARDEGNERO" parmi les grands.
Il vous fabriquait, en quelques heures de confortables et très solides espadrilles "sur mesure".
Mon frère et moi avions droit à une paire chacun tous les débuts d'été, espadrilles payées, exceptionnellement, par notre grand-mère maternelle, sans doute en souvenir de son pays d'origine !
S i je ne me trompe pas Mr Casagrande était le grand père de la famille, du meme nom, qui habitait à la rue Taine.
Toujours dans le coin et en descendant vers le marché, nous ne pouvons oublier le CAFE DE BARCELONE, haut lieu de l'apéro, de la kémia, de la ronda eu du six mora.
Voilà j'ai fait le tour de ce petit bout de BEO, tout étant parti de la GOUTTE DE LAIT pour aboutir AU VERRE DE CRISTAL !
FREDDY
Le : 18/01/2008 13:01
Salut a tous, salut Henri RINDOVETZ,
Tu connais mieux Montplaisant que moi pour y avoir vécu,mais je garde de trés bons souvenirs de cet endroit ou j'en ai fais voir de toutes les couleurs à ma grand-mére et à Mme PUIG,que ma grand-mére logé avec son mari,pour garder et surveiller "La campagne".
Je suppose que nous sommes un peu plus que 2 à ce souvenir de ce coin.
Je continu sur ton adresse mail.
Amicalement .
Alain.
Tu connais mieux Montplaisant que moi pour y avoir vécu,mais je garde de trés bons souvenirs de cet endroit ou j'en ai fais voir de toutes les couleurs à ma grand-mére et à Mme PUIG,que ma grand-mére logé avec son mari,pour garder et surveiller "La campagne".
Je suppose que nous sommes un peu plus que 2 à ce souvenir de ce coin.
Je continu sur ton adresse mail.
Amicalement .
Alain.
Le : 18/01/2008 10:00
Qui se souvient de la GOUTES DE LAIT,j'uste à côté de l'arret des cars CABRERA,c'était tenu par des soeurs qui distribué gratuitement du lait pour les nourrisons,je me rappel des mauresques étaient assisent à même le sol tout les jours en attendant l'ouverture pour la distribution du lait,un ancien de la cité des vieux MOULINS.
Le : 18/01/2008 01:09
A Alain Chatain
Merci Alain pour ce sympathique retour dans nos mémoires,
Après le 3 rue Curie, j’ai habité quelques années à Montplaisant à la ‘’campagne’’ de mes grand parents, et je me rappelle très bien de l’arrêt de cars des frères Cabrera (Coco et Joseph) au pied des immeubles des Vieux Moulins (merci Jacques) face au bar de la Butte. Les cars, après être passés devant le Triolet, attaquaient sur la droite et au pied de la carrière Jaubert, la grimpette vers Montplaisant avec les deux grands virages, le deuxième étant à hauteur de ce que nous appelions alors la maison de redressement. 6 à 800 mètres plus haut, c’était le terminus au niveau d’un café dont le patron était Mr Marin et dont la fille, une petite blondinette de mon age passait son temps a travailler ses ‘‘pointes de ballerine’’ sous mes yeux émerveillés.
Un peu plus loin sur la gauche, on attaquait un petit chemin, et c’est là je pense, au niveau du deuxième virage, que nous avions droit à ces fameuses séances de cinéma en plein air dont nous parle notre ami Alain, sur un petit terrain qui en temps normal était le boulodrome du quartier.
Un peu plus haut et quelques virages plus loin se trouvait l’épicerie de madame Paquita, une figure marquante du quartier à l’époque et dont certains anciens habitants se souviennent encore aujourd’hui (2006). Juste après, se trouvait la campagne de mon grand père Navarro.
Encore merci Alain car j’en était presque à me demander parfois si je n’étais pas le seul à connaitre et me rappeler de cet endroit de rêve ou j’ai passé des moments formidables.
Très cordialement à tous les fidèles et inconditionnels du site,
Henri Rindovetz.
Merci Alain pour ce sympathique retour dans nos mémoires,
Après le 3 rue Curie, j’ai habité quelques années à Montplaisant à la ‘’campagne’’ de mes grand parents, et je me rappelle très bien de l’arrêt de cars des frères Cabrera (Coco et Joseph) au pied des immeubles des Vieux Moulins (merci Jacques) face au bar de la Butte. Les cars, après être passés devant le Triolet, attaquaient sur la droite et au pied de la carrière Jaubert, la grimpette vers Montplaisant avec les deux grands virages, le deuxième étant à hauteur de ce que nous appelions alors la maison de redressement. 6 à 800 mètres plus haut, c’était le terminus au niveau d’un café dont le patron était Mr Marin et dont la fille, une petite blondinette de mon age passait son temps a travailler ses ‘‘pointes de ballerine’’ sous mes yeux émerveillés.
Un peu plus loin sur la gauche, on attaquait un petit chemin, et c’est là je pense, au niveau du deuxième virage, que nous avions droit à ces fameuses séances de cinéma en plein air dont nous parle notre ami Alain, sur un petit terrain qui en temps normal était le boulodrome du quartier.
Un peu plus haut et quelques virages plus loin se trouvait l’épicerie de madame Paquita, une figure marquante du quartier à l’époque et dont certains anciens habitants se souviennent encore aujourd’hui (2006). Juste après, se trouvait la campagne de mon grand père Navarro.
Encore merci Alain car j’en était presque à me demander parfois si je n’étais pas le seul à connaitre et me rappeler de cet endroit de rêve ou j’ai passé des moments formidables.
Très cordialement à tous les fidèles et inconditionnels du site,
Henri Rindovetz.
Le : 17/01/2008 21:40
Bonsoir Paule VELLA,
Je pense que nous tous on appelait"La campagne" un lieu ou nous passions nos vacances et si ce lieu ce trouvait au bord de mer c'était "Le cabanon" notre cabanon à nous ce trouvait à Baînem,ça appartenait à un de mes oncles.
Amicalement Alain.
Je pense que nous tous on appelait"La campagne" un lieu ou nous passions nos vacances et si ce lieu ce trouvait au bord de mer c'était "Le cabanon" notre cabanon à nous ce trouvait à Baînem,ça appartenait à un de mes oncles.
Amicalement Alain.
Le : 17/01/2008 18:34
A Alain Chatain
message inachevé parti trop vite
"La campagne" de mes grands parents, se situait au Frais Vallon, face à El-Biar
message inachevé parti trop vite
"La campagne" de mes grands parents, se situait au Frais Vallon, face à El-Biar
Le : 17/01/2008 18:30
à Alain Chatain
Je croyais que "La campagne" était un endroit unique où j'allais retrouver mes grands parents, oncles, tantes , etc, etc et je m'aperçois que "la c
Je croyais que "La campagne" était un endroit unique où j'allais retrouver mes grands parents, oncles, tantes , etc, etc et je m'aperçois que "la c
Le : 17/01/2008 17:25
A Jacques et à Guy
Non "je me fais pas la tete" mais je m'a encore "perdu la fugure", avec le café de Barcelone (je revoyais une photo d'avant les inondations, mais d'après "nous z'otres" où l'on lisait, en arabe sur la tenture "CAFE DE BARCELONE" (merci Mr Blot, prof d' arabe de Franklin.
A propos de chanson, nous en entonnions une (nous c'était tous les ouillounes de 4 à 14 ans des 30 et 32 rue Léon Roches) quand nous allions, l'été, en bande, à la plage de l'Eden.
"C'est nous les macs de Bab el Oued, nous allons tous à la plage
Ramasser des coquillages
Si parmi nous ya des costauds
On les envoit par colis postaux
Attelo.....attelo.....attelo
A cent sous le kilo
Monsieur le commissaire, je maudis tous ces maçons
Qui ont construit ces p...... de prisons
Attelu.....attelo.....attelo
A cent sous le kilo
Messieurs les agents de police
Vous ne faites pas votre servive
Vous allez à la rue d'Isly
Regarder le derrière des jeunes filles
Attelo.....attelo.....attelo
A cent sous le kilo
Voilà il y a peut etre une suite mais je ne la connais pas.
Il est certain qu'elle ne mérite meme pas de passer à la STAR ACADEMIE !
Mais c'était une chanson "à nous z'otres".
Freddy
Non "je me fais pas la tete" mais je m'a encore "perdu la fugure", avec le café de Barcelone (je revoyais une photo d'avant les inondations, mais d'après "nous z'otres" où l'on lisait, en arabe sur la tenture "CAFE DE BARCELONE" (merci Mr Blot, prof d' arabe de Franklin.
A propos de chanson, nous en entonnions une (nous c'était tous les ouillounes de 4 à 14 ans des 30 et 32 rue Léon Roches) quand nous allions, l'été, en bande, à la plage de l'Eden.
"C'est nous les macs de Bab el Oued, nous allons tous à la plage
Ramasser des coquillages
Si parmi nous ya des costauds
On les envoit par colis postaux
Attelo.....attelo.....attelo
A cent sous le kilo
Monsieur le commissaire, je maudis tous ces maçons
Qui ont construit ces p...... de prisons
Attelu.....attelo.....attelo
A cent sous le kilo
Messieurs les agents de police
Vous ne faites pas votre servive
Vous allez à la rue d'Isly
Regarder le derrière des jeunes filles
Attelo.....attelo.....attelo
A cent sous le kilo
Voilà il y a peut etre une suite mais je ne la connais pas.
Il est certain qu'elle ne mérite meme pas de passer à la STAR ACADEMIE !
Mais c'était une chanson "à nous z'otres".
Freddy