pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Jacques Abbonato (rues Barra et Léon Roches)Envoyer un mail

Le : 19/01/2008 20:20

et voilà comment on arrive à donner un sens péjoratif à un mot qui n'en avait initialement pas! Il y a plein de mots, comme ça, qui sont considérés comme des insultes par ignorance : dites "nègres" aujourd'hui et vous recevez illico une volée de bois vert, quand vous n'êtes pas accusé de racisme! Pourtant, nègre était - et c'est toujours - une couleur et rien d'autre : elle existait bien avant qu'on sache seulement qu'il y avait un continent noir et c'est par simple analogie de couleur avec celle des autochtones de ce continent qu'on la leur a attribuée pour les désigner tous... Connaissez-vous les champignons tête-de-nègre? Personne ne s'offusque quand on les mentionne : ils sont même dans les dictionnaires. On ne monte pas non plus sur ses grands chevaux lorsqu'une personnalité quelconque fait appel à la sous-traitance pour écrire un bouquin : pourtant, on parle aussi ici de nègre sans que ça déclenche une révolution. Que le mot ait dévié, c'est certain, mais la faute à qui? Tout ça pour en venir aux fameux Mozabites : d'après ce que je lis ici, tous les épiciers étaient du Mzab, ce qui est une énormité... Moutchou est un terme générique désignant une personne originaire du Maghreb et pratiquant le métier d'épicier, de la même façon qu'une fatma était la femme de ménage de la même origine : c'était l'usage d'employer ces termes et, à l'époque, personne n'aurait songé un instant à en prendre ombrage. À vouloir parler politiquement correct, on finira par ne plus parler, quelqu'un étant toujours susceptible de se fâcher... Tous ces mots existaient, ce n'est pas nous qui les avons inventés : le nier, c'est pratiquer la censure, voire l'auto-censure et ça, c'est encore plus triste. Navré si je choque, mais un chat sera toujours un chat, quelle que soit l'époque.

 

De : FASANO Pierre-ClaudeEnvoyer un mail

Le : 19/01/2008 19:18

Bonsoir Andrée et Anne-Marie. C'est toi Anne-Marie qui a raison, il s'appelait DAOUD et avait une jambe de bois et pour ne pas user l'extremité il mettait une boite de conserve, quand il marchait derriere nous , il n'etait pas necessaire de tourner la tête, on savait que c'etait DAOUD, la boite de conserve claquait au sol. La bise a tous et bonne nuit.

 

De : andree atlanEnvoyer un mail

Le : 19/01/2008 19:12

pour revenir a doudou le mozabite c'etait bien DAOUD dit DOUDOU il avait bien une jambe de bois andree

 

De : Cassar A.MEnvoyer un mail

Le : 19/01/2008 18:58

à Pierre-Claude
Pour devancer Michel, et répondre à ta question sur "notre" mozabite, on l'appelait Daoud ou aussi Doudou d'après Andrée. Sa particularité c'était d'avoir une jambe de bois avec à l'extrémité une boîte de conserve je pense pour ne pas l'user.
Je vous souhaite un bon voyage, c'est Robert Falzon que je viens d'avoir au téléphone qui me l'a dit, et vous fait de gros bisous.

 

De : andree atlanEnvoyer un mail

Le : 19/01/2008 17:40

pour FASANO PIERRE -CLAUDE
LE MOZABITE qui etait pres du 72 avenue malakoff s'appellait DOUDOU en tout les cas c'est comme ça qu'ont le nommait .le pere habitait dans le meme immeuble que moi au 74 avenue malakoff. c'estvraie qu'ils allaient nager a la plage de l'eden en famille cette plage etait un vraie paradis bonne soiree andree

 

De : CHATAIN AlainEnvoyer un mail

Le : 19/01/2008 16:41

Bonjour odette MARIN,
Je pense que vous allez avoir plein de réponse,moi j'habitais au 36 rue Léon Roche,je suis de 38 et je jouais souvent au jardin derrierl'église.
Je pense que pour avoir plus de chance de retrouver plus d'ancien de ce quartier et de vous inscrire sur le site de Jacques .
Bonne chance .
Amicalement Alain.

 

De : odette MARIN épouse boudaudEnvoyer un mail

Le : 19/01/2008 16:17

Bonjour à tous. je suis nouvelle dans le site j'habite 40 rue eugène delacroix 49300 CHOLET entre ANGERS et NANTES dans l'ouest de la france.Je suis née le 25 10 1950 au 10, rue léon roches à BAB EL OUED, mariée à un PATOS de cholet depuis 1971. Maintenant que les deux enfants sont mariés et que je suis juste en retraite, je veux faire des recherches et retrouver mon enfance que j'avais mis de cote dans ma tête mais qui me fait tellement et terriblement mal, de vivre dans une région ou je n'ai pas de racines, et les anciens de la famille qui vivaient sur Marseille ne sont plus pour me raconter. Je vois que votre site est vraiment super, que les personnes sont heureuses de parler de notre enfance. Moi aussi
je voudrai retrouver des personnes. J'habitai coté gauche dans la rue leon roches quant on venait de la bouzareah,au numéro 10, un peu avant le jardin qu'il y avait avant l'église. Dans cette unemaison qui appartenait à ma grand mère MARIN, il y avait 6 appartements, à l'étage la famille THOUS, KRENKER, Mon père MARIN françois marié à ma mère ANDREE RAMIS, née à la basetta , et au rez de chaussée la famille SIMON, dont le fils s'appelle CLAUDE,ma grand mère MARIN,et la famille TRUJILLO ON était tous cousins dans ces trois familles
en face il y a avait une petite cote où tout en haut il y avait un mosabite embulant qui vendait des cacahuères, avant notre maison toujours côté gauche il y avait un grand immeuble où il y avait la famille AZAM un fils qui s'appelait daniel, il y avait la famille
LI , lui il était maroquinier. En bas il y avait une marchande de vin MME MARTINEZ que je connaissais bien sa petite fille . SI CELA VOUS RAPPELLE QUELQUE CHOSE, merci de me répondre et de m'aider JE VOUS EN REMERCIE VIVEMENT à bientôt

 

De : DOMENENCH LILIANEEnvoyer un mail

Le : 19/01/2008 12:54

Merci à Alfred LANGLOIS pour nous remémorer tous nos souvenirs...
J'ajoute également les marchands de cacahuètes, de bonbons et de bliblis blancs ou roses, qui étaient au coin des rues assis en tailleur, des marchands de figues de barbarie devant la goutte de lait, les chevaux avec le museau dans la mangeoire et leur calèche alignés en bas de la rue cardinal verdier. Mon père menuisier venait marchander avec les propriétaires arabes un cheval pour livrer ses meubles. Et aussi notre traditionnel Blanchette sans oublier les sacs de jute remplis de légumes des moutchous du marché et toutes les senteurs oubliées de poisson, calentita, olives et autres charcuterie et bonnes choses de ce magnifique marché de BEO.
Un retour en arrirère qui fait du bien.
Bonne année à vous tous.
LILIANE

 

De : FASANO Pierre-ClaudeEnvoyer un mail

Le : 19/01/2008 09:45

Bonjour l'Ami Michel SUCH. Est-ce que tu souviens du Nom ou Prénom du notre de MOZABITE, qui avait son epicerie juste a coté de notre entrée d' immeuble (72) et son signe particulier? L'été, il descendait a la plage de l'Eden a 6hoo avec ses fils et un neveu( parait-il) et plongeaient tout habillés, ils s'amusaient comme des enfants, un veritable folklore, Sacha Guitry avait ecris "SI VERSAILLES M'ETAIT CONTE" il y aurait de quoi ecrire aussi sur cette plage " SI L'EDEN M' ETAIT CONTE" nostalgie, nostalgie!!!!!!!!!!!

 

De : christiane arlandisEnvoyer un mail

Le : 18/01/2008 22:42

coucou je te souhaite ainsi ka elise une bonne annee 2008 la je me trouve chez francette tes voyages se sont il bien passer je doit y aller pour paque gros bisou a vous deux christiane repond moi suis sur lemail a francettte bisou

 

Envoyez un message