pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : lombardo yolandeEnvoyer un mail

Le : 27/01/2008 11:02

bonjour à tous mes amis de la consolation depuis que je suis sur internet j'ai retrouvé pas mal de personnes du quartier, je suis ravie de lire les messages des uns et des autres le temps a passé et les souvenirs sont restés intacts. Amitiés sincères à tous YOLANDE

 

De : christiane coppaEnvoyer un mail

Le : 26/01/2008 19:30

Bonsoir à Toutes et Tous
Depuis quelques jours, nous recevons sur la boite aux lettres, un message pour le film qui va être diffusé "les poseuses de bombes".
Déjà faire passer ce message, c'est donner de l'importance à ce film. Quant à écrire à la chaine qui va le diffuser, peine perdue, s'il est programmé, ils ne feront rien pour le supprimer.
Alors (sans vouloir donner de leçon) faites comme moi, ignoré ce film et surtout ne pas le regarder.
Amicalement

 

De : odette MARIN épouse boudaudEnvoyer un mail

Le : 26/01/2008 19:17


quel plaisir de lire tous les messages, j'avoue que plein de souvenirs sont
revenus à la pelle, cela me fait chaud au coeur, merci à vous tous pour
vos témoignages, ce site est vraiment super. J'entends parler de la rue
léon roches où j'y ai vécu jusqu'à 12 ans, du quartier de la baseta au ma grand mère josepha ramis a habité au 5 rue nelson cherico, du buraliste cardonna, je me rappelle de ce
gros chien qui me faisait un peu peur lorsque j'allais acheter le journal ou des magasines
pour maman, je me souviens également de blanchette où l'on achetait des beignets et
de ce quartier des 3 horloges où je passai chaque jour pour aller à l'école francklin.

 

De : sperius alainEnvoyer un mail

Le : 26/01/2008 18:38

suis à la recherche de mes parents biologiques né le 29/03/1950 à alger, avenue de la marne, chez les soeurs ?
tout renseignements sur ces soeurs, cette clinique ou son personnel egalement sur mes parrain et marraine guy le blevennec et claudia martino seront les bienvenus
la personne qui m'a ecrit d'antibes doit se manifester à nouveau

merci d'avance
alain

 

De : marie-jeanneEnvoyer un mail

Le : 26/01/2008 16:16

Je réponds à Annie Salort et Christiane Coppa au sujet de "Magou" (moi je l'appelais Magou. Mes grands-parents avaient le salon de coiffure opposé au magasin de Magou et ils habitaient au 58 avenue de la bouzaréah. Je me souviens d'avoir joué avec une bande de fille dans la "ruelle" sur le terrain vague et l'une d'entre vous avez une "manman" qui faisait de la couture et qui nous donnait des morceaux de tissu pour habiller nos "poupées mannequins " de l'époque = des p'tits poupons en celluloïd dont les élastiques des bras et des jambes, à force à force, finissaient par casser !
Je vous ai envoyer un mail à chacune mais avais-je la bonne combinaison !

 

De : blanc etienneEnvoyer un mail

Le : 26/01/2008 12:11

A que les fétes vous ont a tous un peu fatigué ? Il n'y a plus personne sur le forum(oualou) ou alors c'est l'age? ou alors le soleil depuis quelques temps il nous en manque un peu.HA! ou sont lesbaignades du mois de janvier quand ont faisait ( manqua horas)de l'ecole les bains de cheveaux ou tirer le boulitche(filet) des souvenirs qui tombent comme çà .amitiées atous un de la basseta.etienne blanc

 

De : PICCERELLE PERREEnvoyer un mail

Le : 26/01/2008 11:18

boujour je répont aux message de albert navarro,j'habiter 3rue nelsone cherico puis partie cité des eucalytus .je pense que vous habité entre le lavoir et la boulangerie ripol,entrée par la cour.je suis pierre piccerelle,si cést le cas bon souvenir de la baseta,ily avais un alvares.a suivre, mes amitié.

 

De : SauveurEnvoyer un mail

Le : 26/01/2008 08:49

A Paul Emile BISBAL

Je m'excuse de passer par un message public,la boite privée ne fonctionne pas-Tu souhaiteras à ton papa les meilleurs voeux pour son anniversaire de son copain de Lelièvre GIORDANO des Messageries dont ton pere l'avait surnommé Gargoulette
GIORDANO n'a pas d'internet-
Nous avons echangé au téléphone des nouvelles du site

 

De : Edgard BentolilaEnvoyer un mail

Le : 26/01/2008 00:52

Salut Freddy,

C'est sûr de l'hérésie!

A part les mots et noms de mes amis et lieux de notre enfance, j'ai oublié beaucoup du passé...

J'ai oublié Phénix et Gras, merci de me rafraichir la mémoire quand même, et de réveiller d'autres souvenirs pour autant...

Une chose sûre et certaine quant à l'effet d'abus de ces alcools dans l'estomac de mon père, que le chirurgien a du en faire ablation totale...il fallait vivre avec, dès jeune âge..

Gras, Phoenix, Anis, Wiskey, Liqueurs, où et qui que vous soyez, vous ne trouverez donc pas d'écho ni de client en moi...:-) Salute!

A plus.

 

De : Antoine BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 25/01/2008 23:12

Eh voilà! L'avalanche des souvenirs grossit, grossit tellement que des torrents d'émotions viennent nous submerger, nouer nos gorges et embuer nos yeux (non, j'ai pas dit « nous faire pleurer »: on est "schquartiones" ou pas?)....
Maintenant, si tu sais pas qu'en allant sur le site, tu vas direct sur l'quartier sans prendre l'avion ou le bateau, c'est que t'ché barjo ou qu't'ché pas d'chez nous. Alors, te gêne pas, et viens partager ces merveilles avec les ancien-ne-s du site et les nouvelles qui se font de plus en plus nombreuses.
Merci à toi, Annie pour cette balade au PETIT DUC que j'ai connu aussi et dont j'ai vu la démolition. Merci à toi, Jean-Louis pour nous avoir promenés dans ces rues qu'on connaissait comme notre poche et d'avoir cité le nom de Melle Valensi qui (et là, je me rengorge!) a été ma "première maîtresse" en 1946 à l'école Sigwalt, mais rue Charles Lebars où se trouvait également une autre classe: celle de M.Gantchoula?
Depuis le 1er jour où elle est arrivée tout vêtue de rouge, elle a profondément marqué ma vie puisqu'elle m'a toujours suivi et dirigé à distance à telle enseigne que, quand elle nous a quittés pour la rue Mizon, tous les parents et les enfants en avaient été consternés. Mais bon, elle habitait avenue de la Marne et je me consolais tant bien que mal puisque je la rencontrais tous les matins en allant au lycée, rougissant chaque fois qu'elle me faisait la bise et s'informant de mon travail.
Et puis un jour, le ciel qui me tombe sur la tête: on reçoit à la maison son faire-part de mariage ! ! ! P....! quel choc ! Moi, Son Chouchou, Son Chéri, me faire ça à moi! J'en ai été malade et priais tous les saints que ce mariage ne se fît point....Et la veille de son mariage, vous ne le croirez pas, un pneumatique (lettre urgente par porteur) arriva, nous annonçant qu'il était rompu....
Vous dire que j'en étais heureux est faible...Je la retrouvais chaque jour, et puis aussi lors de mon certificat d'études au CC Lelièvre, en candidat libre avec ses grands yeux écarquillés pour me demander ce que je pouvais bien faire ici......Puis ce fut la Fac, la vie active, l’éloignement et en juin 1961, la convocation au Lycée Delacroix pour corriger les épreuves d’anglais du BEPC dans une salle réservée à cet effet. Parfois, on se levait pour se dégourdir les jambes, discuter un brin avec les autres collègues. Vers midi, je me dirigeais vers la sortie quand, d’une autre salle , à ma grande surprise, apparut une dame bien habillée et élégammentcoiffée :…Melle Valensi ! ! ! Elle m’a pris dans ses bras, m’a embrassé et après quelques balbutiements de ma part, m’a entraîné dans la salle de correction des épreuves de français où se trouvaient encore tous les correcteurs en s’exclamant à haute voix :« Je vous présente Antoine. Je l’ai eu comme élève au CP et maintenant il est professeur ! C’est extraordinaire, non ? » Et de continuer à m’encenser et tenir des propos dithyrambiques à mon égard. J’étais rouge de confusion, mal à l’aise, sans voix….: Je redevenais le petit garçon de l’école Sigwalt, comme au 1er jour de sa rentrée où mon c 1/2 ur s’était mis à battre à tout rompre….
Depuis ce jour, je ne l’ai plus revue, sans jamais l’avoir oubliée…
Merci, Melle Valensi de m’avoir appris à lire et à écrire et donc permis de raconter et partager cette belle histoire avec toutes celles et ceux que j’aime.


 

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