Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

Je remercie, par la présente, les personnes qui m'ont répondues au sujet des cinémas de BAO.
Au sujet du petit marchand, qui s'intallé à l'angle de la place du Gouvernent ( Place Lahoud pour certains ) et le début de la rue BEO, effectivement ,il ne faisait pas de calentita. Chaque fois que je passais devant son petit étalage ( trés souvent ) l'odeur qui s'en émanéé m'ouvrait une faim de tigre.
Il ne faut pas oublié non plus, que pas loin de là, se trouvé un marchand de glaces.
Excusez mon anthousiasme, peut être exessif, ( c'était aussi l'avis de mon père ) mais pour nous, ce n'était pas seulement le meilleur glacier de BEO, mais aussi, de tout le grand Alger! Ses spécialités étaient, principalement, les Napolitaines, avec plusieurs saveurs, ainsi que son trés fameux " créponné" dont il avait le secret de fabrication.
J'ai ouî dire qu'il est installé maintenant sur la Côte d'Azur. Peut-être à Nice.

à dbjay

Avant le Trianon, je n'ai pas connu. Par contre tu parles peut-être de Pétrusa le photographe, juste à l'angle en face au 31, le monoprix était au 30. Il y avait aussi avant le bar "le Pénalty" à l'époque du cinéma juste à coté.

;-)

au Sauveur

Merci pour le message j'ai réussi à avoir l'adresse exacte de soeur Gabrielle je lui écrirai incessament quand à ses congénères dont vous avez mentionné qu'elles sont parties cela fait deux années qu'elles reposent en paix jamais je n'oublirai tout ce qu'a été enseigné par ces soeurs on a appris sagesse, bonté et beaucoup d'autres choses de la vie Merci infiniment.
Amicalement.

avenue de la bouzareah avant le monoprix il y avait le trianon Ok
mais avant le trianon je crois qu'il y avait eu ALGERIA PHOTO le salon de toutes nos photos de famille ??!!!

à arlette Soliveres
oui j'avais oublié ce boxeur aveugle et sa compagne: les copains le comparaient à Rigoulo
qui était capable parait-il de déchirer un annuaire téléphonique ( j'avais essayé en rentrant à la maison : aï aï!!!)

Monsieur , Caravano je peut vous dire avec certitude que le nom de ce marchand etait
GALEA origine Maltaise est il ne vendait pas de calenttita . Le roi des allumettes aux enchois et ramequins au fromage ! introuvable ailleur ! voila sa spécialité . Yves

Entre tous, on pourrait en faire un DVD.

Je me souviens d’un Monsieur, que l’on avait baptisé comme beaucoup d’habitants de Bab el Oued « ANDRES PEPETE » c’était peut être son vrai nom, il descendait la rue Pierre Leroux complètement déhanché en sautillant, sa façon de marcher faisait rire les enfants du quartier. Nous ne le faisions pas avec méchanceté, mais maintenant avec le recul je trouve que ce n’était pas très gentil de la part des enfants.
Il y avait aussi une personne que l’on surnommait P’tit JAJEAN, il était vêtu d’un grand manteau et d’un chapeau noir, il n’était pas méchant, mais Dieu seul sait les « soustos » qu’il m’a donnée quand je le voyais s’abritait dans la cage d’escalier de mon immeuble ou celui de mes grands-parents qui n’était pas très éclairés. Je suppose qu’il devait aussi aller dans d’autres immeubles. Nous lui avons souvent donné à manger car il était SDF comme on dit maintenant.
Qui se souvient du boxeur qui était aveugle, sa femme était avec lui, soit disant pour le guider, mais je me demande qui guidait l’autre. Ils étaient « boratchos » un plus que l’autre. Une scène m’est restée gravée, un jour ils se sont disputés avec le Moutchou qui avait l’épicerie près de la boulangerie CLAPES avenue de la Bouzaréah. A coup de canne, il a cassé une partie des étalages, tout était au sol et pour finir il a poussé le Moutchou qui s’est retrouvé le derrière dans un gros baril d’olives. Ma grand-mère habitait au-dessus du café de la Butte, dès que sa proche voisine, Mme ESCUDER les apercevaient au niveau des 3 horloges, elle appelait le Moutchou en criant par le balcon « il faut q’tu fermes, ils arrivent les boratchos », elle rajoutait en parlant à ma grand-mère « t’cha vu comme ils ont bu, quelle saloprie ces gens ». Il prenait aussitôt sa grande perche et descendait son rideau de fer à toute vitesse. Il ressortait par la porte de l’immeuble attenante à son magasin et les regardait passer avant de rouvrir. C’était un vrai film à mourir de rire.
Le boxeur et sa femme trouvaient toujours de la place dans le tram ou le trolley car dès qu’ils montaient les voyageurs descendaient tellement ils en avaient la trouille. Lui n’était pas méchant, mais elle le poussait à frapper les gens avec sa canne, surtout quand ils étaient « boratchos » tous les deux.

Qui se souvient d'un petit marchand qui s'installait à la fin des arcades de la rue Bab El Oued coté gauche en remontant sur la rue Bab Azoun juste avant la place du Gouvernement.
Il vendait des allumettes aux anchois , des ramequins au fromageet peut être bien de la calentita.
Rien que d'en parler j'en ai le gout qui me revient. Il avait une grosse boite en bois de couleur verte si ma mémoire ne me fait pas défaut.
A souvenirs, souvenirs

j ai connu mr rico ssavatier au 54 avenue general verneau

j'habitais au 24 rue jean jaurès à alger ; je suis née le 11 avril 1943 ; j'ai fréquenté l'école maternelle de la rue de normandie et j'ai été aussi à l'ort (école juive) dans les années 60.
je serais ravie de retrouver des anciennes connaissances si elles se reconnaissent. je m'appelle michelle ayache et mes frères s'appellent jean pierre et marco ainsi que ma petite soeur nicole. nous sommes partis comme la plupart d'entre nous en 1962 et je serais vraiment contente de retrouver des "vieux" amis d'enfance.
michelle