Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

Bonjour,

Etant absent depuis 15 jours, les messages se sont accumulés et j'ai donc du retard. Je vais faire le nécessaire le plus rapidement possible pour que les photos qui m'ont été envoyées soient sur le site et répondre à vos messages. Merci et au 01 juin à Rognes, amitiés.

A Djamel
Au sujet de l'Eden et de la continuité de la cote.
Merci pour les précisions, je me souviens, en effet, que quand nous allions à la plage en famille, c'était sur "le sable" de l'EDEN, mais quand nous pouvions nous échapper entre copains du quartier (sans les parents) nous allions sur les rochers en passant par une étroite corniche à fleur d'eau, corniche qui longeait le bas des habitations.
Cela nous permettait d'atteindre un endroit isolé et presque innacessible pour "poser" nos affaires et nous ébattre en toute quiétude.....mais non parfois sans danger !
Amitiès
Freddy

Oui gigi2, j´ai vu cela moi-même, c´était á la poudrière, plage juste aprés la station d´essence, aprés le parc aux huitres de St Eugène, un endroit profond dès le bord de la mer, moi qui était gosse et tout fier d´avoir plonger derrière le charlemagne de St Eugène aprés avoir vu le plongeur en question je m´étais fait plus petit.
Amitiés Sellam

Nous venons d'apprendre le décés de notre cousin habitant à Marignane, il s'appelat
JEAN6MARC MARIETTE il avait 64 ans et sa mort si innatendue nous a beucoup frappée.
l'enterrement se fera demain mardi , se réunira à 14 h 00 devant son domicile le lotissement de COURBET MARINE et à l'église ST NICOLAS de MARIGANEN 0 15 H 00 puis ce sera l'inhumation dans le caveau de famille au cimetièrre de Marignane.

Il habitait à la consolation, avenue MalakoFF, son père était le gardien cheF du cimetierre de ST EUGENE.

Il a surpis tout lemonde mais il repose en paix.

Que ceux qui le connaissait aient une petite pensée pour lui il le méritait vraiment c'était un gentil garçon qui a connu beaucoup de malheurs dans sa vie et qui a toujours su faire face.

Merci d'avance

Mon père me racontait que , dans sa jeunesse, Il y avait des concours de plongeons, du haut du parapet du boulevard des Pitolets . Pour ceux qui connaissent l’endroit et la hauteur, ils vous diront que c’était impossible ou alors que c’était pour se suicider !
1/ il fallait être téméraire ( il y avait des paris un peu stupides, je le conçois ).
2/ il fallait nager comme un poisson ( c’était le cas de mon père )
3/ bien surveiller les vagues qui venaient se fracasser contre les rochers et le bas du parapet, ainsi que le ressac formée par celle-çis
3/ plonger au bon moment.
4/ revenir à la nage vers les rochers, en se servant des vagues, sans se fracasser la tête.
A sa connaissance il n’y eu qu’un accident sans trop grande gravitée. Un miracle !!!

A LANGLOIS ALFRED a MICHEL SEKSEK, et à tous les copains de la consolation. Quelques souvenirs pour parler un peu de l'eden et du boulevard pitolet, qui était, et qui reste d'ailleurs, une merveille sur le plan architectural. Imaginez un mur d'une vaingtaine de mètres de haut, surplombant la mer, et construit entièrement en pierres bleues magnifiques. Du haut du PARAPET, comme on l'appelait à l'époque, on dominait l'éden, les cabanons habités en permanence par des familles, rais-ville, qui était une ville qui avait littéralement les pieds dans l'eau. Et pour se baigner au PIGEONNIER on passait sous les cabanons de rais-ville, et entre les rochers.

A l'attention de Jean-Louis D'ALESIO.
j'ai bien reçu ton mail mais je n'arrive pas à te repondre, il semblerait que je n'ai pas la bonne adresse.
J'attend de tes nouvelles.
Babelouedement

bonjour à tous mes compatriotes

est ce que vous êtes au courant qu'il y a un pélerinage à LOURDES le samedi 22 et dimanche 23 mars organisé par des pieds noirs en hommage aux victimes du 26 mars alger et aux morts du 5 juillet à ORAN;


j'ai lu tout cela dans l'écho de l'oranie.



j'espère que cela interessera certains d'entre nous.

bises à toutes et tous


carmen

Je présente mes sincères condoléances à la famille BLANQUER à la suite de la perte cruelle qu'elle vient de subir.
Je me souviens que ma grand mère maternelle "faisait cuire" ses mounas dans le four de la boulangerie, de meme que ma mère y "faisait cuire" les cocas à la pate de pain sur les grandes toles noires, mises à disposition par la maison.
Un ancien de la rue Léon Roches, né rue Maxime Noiré.
Langlois Alfred

C'est avec tristesse que j'appends le Décés de Mme BLANQUER notre boulangère de la rue maxime noiré, que de souvenirs dans cette boulangerie avec nos plats signé par les noms de famille, les mounas la boulangerie était à la disposition de tous.Je présente mes condoléances à toute sa famille.