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Le : 05/04/2008 15:31
Guy (Soltana), horosement que je lis les messages dans l'ordre inverse de leur arrivée que j'ai pu ouar ta rectification avant la con... ie que ça m'aurait fait sauter au plafond! De quoi, y'avait pas de canus à chez nous? Rien que je savais pas où donner des yeux, dé! Comme on dit métenant, des thons, y'en avait mais pas bézef : le beau dominait largement. Et puis, beau c'est quoi, hein? Ca dépend de l'oeil qui rogarde. N'empêche que nos petites cailles en jetaient, y'a rien qu'à ouar les photos, tiens! La malbouffe chez nous, on connaissait pas, même si c'était pas tous les jours des ortolans qu'y avait dans l'assiette, et ça se voyait à notre ligne mannequin. Ah! ces corsages blancs pigeonnant et ces jupes bouffantes à large ceinture qui s'arrêtaient juste au-dessus du genou, ce galbe des mollets et ces petons dans des escarpins blancs, eux aussi... Pas de quoi rêver, ça? Et nous, avec notre ventre plat, nos yeux de velours et pas un cheveu qui dépassait, les pompes cirées nickel et le pli du patalon lame de rasoir, tu crois qu'elles nous mataient pas par en-dessous des sourcils? P... qu'est-ce qu'on a raté! Remarque, comme tu dis, aec le frère, le cousin ou la grand'mère qui surveillait, pas moyen de moyenner sans riquer la castagne, au titre de la préservation de l'honneur de la famille. Comme disent les psy d'aujourd'hui : les enfants doivent connaître la frustration pour être bien élevés : qu'est-ce qu'on a été bien élevés, nous autres, même que la frustration, c'est nous qu'on l'a inventée!!!
Tiens, je ferme juste les yeux et hop! j'y suis. Manadge.
Tiens, je ferme juste les yeux et hop! j'y suis. Manadge.
Le : 05/04/2008 00:36
pour Jacques Abbonato,
Rectificatif à mon précédent message, au lieu de "des canus, dans mon quartier il n'y en avait pas" il faut lire "des canus dans mon quartier il y en avait plein". Comment ai-je pu me tromper ainsi ???
Amitiés.
Guy.
Rectificatif à mon précédent message, au lieu de "des canus, dans mon quartier il n'y en avait pas" il faut lire "des canus dans mon quartier il y en avait plein". Comment ai-je pu me tromper ainsi ???
Amitiés.
Guy.
Le : 04/04/2008 22:47
Deux instants.
Le pain chez Maresca.
On ne m’autorise plus à sortir seul à cause de la situation qui se dégrade à Bab-El-Oued. La population de la Placette Lelièvre s’est clairsemée. Du balcon de chez mes grands-parents, j’épie les jeux des rares groupes qui subsistent. Je m’amuse par procuration. Cette réclusion me pèse, alors je profite de chaque occasion pour être dans la rue. Ainsi, faire les courses, c’est grignoter un peu de liberté. Avec mon grand-père, nous allons chez Maresca acheter le pain. En sortant de l’immeuble, après l’obscurité de la cage d’escalier l’intense lumière du dehors m’éblouit. Nous descendons la rue Jean Jaurès en suivant le mur de la Placette surmonté de ses grilles de fer. Nous passons à l’aplomb du terrain de boule. On dépasse le salon de coiffure. Avant, je craignais d’entendre la phrase fatidique « Bientôt faudra aller chez Charlot». Cette sentence terrible signifiait qu’une grande partie de mon prochain jeudi après-midi serait amputée par l’attente dans cette boutique surchauffée. Maintenant j’aimerai patienter dans ce salon tout en longueur juste pour le plaisir d’être avec un ou deux copains. Nous traversons le boulevard pour entrer chez Maresca. Derrière son comptoir, Solange nous sert notre pain. En sortant nous observons pendant quelques courtes minutes les man 1/2 uvres d’un hélicoptère au-dessus de l’hôpital Maillot. Nous reprenons notre chemin en sens inverse mais avec un peu plus de lenteur. Je chemine à hauteur de mon grand-père. Il pose sa main sur mon épaule pour modérer mon allure. Ses bronches sifflent à chaque inspiration. C’est un souvenir du temps ou, quand il était soldat, en 1920, il passa deux rudes hivers d’occupation en Allemagne. Nous marquons plusieurs haltes pour discuter avec ses amis du quartier. Ce sont autant de répits qui me sont offerts. Nous sommes arrivés. Il me faut abandonner ma rue et rentrer.
Des plaisirs.
A la plage, je reste « à la baille » plus que de raison. Le jeu me fait perdre la notion de temps. Il faut une injonction sévère de mes parents pour que je rejoigne le rivage. Malgré la chaleur ambiante et l’agréable température de la mer je sors de l’eau tremblant de froid. Mes lèvres sont bleuâtres. « Allez, dit ma mère, il est midi tu te sèches on va bientôt manger ». Alors, c’est l’instant du premier plaisir. Je choisis une belle portion de sable inoccupée. Tout transi, je me roule lentement dans le sable chaud et doux. On ne peut faire cela que lorsque l’on est enfant. C’est une satisfaction interdite aux adultes. Me voilà enveloppé d’une chaude caresse. Mon corps se réchauffe. La déplaisante sensation de froid recule brusquement laissant place à une suave impression de bien-être. Mais, attention, au choix de la bande de sable ! Trop éloignée du rivage elle sera brûlante, trop proche elle sera inefficace. Toute est une question d’appréciation.
L’autre plaisir, après m’être réchauffé, c’est de calmer ma faim. A l’ombre du parasol, bien protégé de la chaleur, je fouille dans le couffin réservé au casse-croûte. Je déplie le torchon blanc qui protège les cocas. Pour se rassasier, peut-on espérer plus grand bonheur que de croquer dans ce demi-cercle dodu de pâte dorée au four ? Qu’importe la garniture, soubressade, légumes, ou fritanga, le régal demeure le même. Il faut mordre soigneusement pour détacher la juste bouchée, une main placée en dessous pour récupérer ce qui pourrait chuter. Il n’est pas concevable de perdre une seule miette. La première coca calme la faim, la gourmandise justifie la seconde, la troisième reculera forcément l’heure de la reprise de la baignade, mais qu’importe. Quel festin !
Le pain chez Maresca.
On ne m’autorise plus à sortir seul à cause de la situation qui se dégrade à Bab-El-Oued. La population de la Placette Lelièvre s’est clairsemée. Du balcon de chez mes grands-parents, j’épie les jeux des rares groupes qui subsistent. Je m’amuse par procuration. Cette réclusion me pèse, alors je profite de chaque occasion pour être dans la rue. Ainsi, faire les courses, c’est grignoter un peu de liberté. Avec mon grand-père, nous allons chez Maresca acheter le pain. En sortant de l’immeuble, après l’obscurité de la cage d’escalier l’intense lumière du dehors m’éblouit. Nous descendons la rue Jean Jaurès en suivant le mur de la Placette surmonté de ses grilles de fer. Nous passons à l’aplomb du terrain de boule. On dépasse le salon de coiffure. Avant, je craignais d’entendre la phrase fatidique « Bientôt faudra aller chez Charlot». Cette sentence terrible signifiait qu’une grande partie de mon prochain jeudi après-midi serait amputée par l’attente dans cette boutique surchauffée. Maintenant j’aimerai patienter dans ce salon tout en longueur juste pour le plaisir d’être avec un ou deux copains. Nous traversons le boulevard pour entrer chez Maresca. Derrière son comptoir, Solange nous sert notre pain. En sortant nous observons pendant quelques courtes minutes les man 1/2 uvres d’un hélicoptère au-dessus de l’hôpital Maillot. Nous reprenons notre chemin en sens inverse mais avec un peu plus de lenteur. Je chemine à hauteur de mon grand-père. Il pose sa main sur mon épaule pour modérer mon allure. Ses bronches sifflent à chaque inspiration. C’est un souvenir du temps ou, quand il était soldat, en 1920, il passa deux rudes hivers d’occupation en Allemagne. Nous marquons plusieurs haltes pour discuter avec ses amis du quartier. Ce sont autant de répits qui me sont offerts. Nous sommes arrivés. Il me faut abandonner ma rue et rentrer.
Des plaisirs.
A la plage, je reste « à la baille » plus que de raison. Le jeu me fait perdre la notion de temps. Il faut une injonction sévère de mes parents pour que je rejoigne le rivage. Malgré la chaleur ambiante et l’agréable température de la mer je sors de l’eau tremblant de froid. Mes lèvres sont bleuâtres. « Allez, dit ma mère, il est midi tu te sèches on va bientôt manger ». Alors, c’est l’instant du premier plaisir. Je choisis une belle portion de sable inoccupée. Tout transi, je me roule lentement dans le sable chaud et doux. On ne peut faire cela que lorsque l’on est enfant. C’est une satisfaction interdite aux adultes. Me voilà enveloppé d’une chaude caresse. Mon corps se réchauffe. La déplaisante sensation de froid recule brusquement laissant place à une suave impression de bien-être. Mais, attention, au choix de la bande de sable ! Trop éloignée du rivage elle sera brûlante, trop proche elle sera inefficace. Toute est une question d’appréciation.
L’autre plaisir, après m’être réchauffé, c’est de calmer ma faim. A l’ombre du parasol, bien protégé de la chaleur, je fouille dans le couffin réservé au casse-croûte. Je déplie le torchon blanc qui protège les cocas. Pour se rassasier, peut-on espérer plus grand bonheur que de croquer dans ce demi-cercle dodu de pâte dorée au four ? Qu’importe la garniture, soubressade, légumes, ou fritanga, le régal demeure le même. Il faut mordre soigneusement pour détacher la juste bouchée, une main placée en dessous pour récupérer ce qui pourrait chuter. Il n’est pas concevable de perdre une seule miette. La première coca calme la faim, la gourmandise justifie la seconde, la troisième reculera forcément l’heure de la reprise de la baignade, mais qu’importe. Quel festin !
Le : 04/04/2008 22:47
Christian, Bonsoir
Tout d'abord, mes excuses,de ces trois doublons sur ta messagerie,je t'ai donné du boulot.(Un peu quand même).
Pour notre Ami Jacques , c'est vrai les Buresi etait du 36 Reaumur, au dessous de notre logement.Buresi Jacques c'est vrai travaillé à la RTF du Bd Bru.Je m'en souviens malgré ma jeunesse d'antant ,(je suis de 1946).La premiere Télé nous la squattons chez lui,enfin tous les voisins, quelles époques!!!!.
NOUVELLES:
J'ai eu la joie cet aprés midi,d'avoir été en contact avec Liliane Sabater (Marseille).
Grac à notre ami Catala. Conversation àbaton rompus, comment rattrapé 45 ans de séparation en 20minutes au téléphone.JTE DIT PAS LA TCHATCHE A DONF.
BISES A TOUS
NANODU36
(Christian! cette fois ci je clic une fois,ma parole dé).
CIAO
Tout d'abord, mes excuses,de ces trois doublons sur ta messagerie,je t'ai donné du boulot.(Un peu quand même).
Pour notre Ami Jacques , c'est vrai les Buresi etait du 36 Reaumur, au dessous de notre logement.Buresi Jacques c'est vrai travaillé à la RTF du Bd Bru.Je m'en souviens malgré ma jeunesse d'antant ,(je suis de 1946).La premiere Télé nous la squattons chez lui,enfin tous les voisins, quelles époques!!!!.
NOUVELLES:
J'ai eu la joie cet aprés midi,d'avoir été en contact avec Liliane Sabater (Marseille).
Grac à notre ami Catala. Conversation àbaton rompus, comment rattrapé 45 ans de séparation en 20minutes au téléphone.JTE DIT PAS LA TCHATCHE A DONF.
BISES A TOUS
NANODU36
(Christian! cette fois ci je clic une fois,ma parole dé).
CIAO
Le : 04/04/2008 20:45
Pour Jacques Abbonato (de 1941 comme moi),
Des "canus", dans mon quartier il n'y en avait pas ! Avec le recul, je m'en rends compte, mais nous ne draguions pas les filles du quartier car souvent elles étaient les soeurs des copains (ou alors nous n'osions pas). Tous les soirs, on faisait l'avenue de la Bouzaréah et bien souvent nous revenions bredouilles de la chasse, mais nous gardions espoir pour le lendemain. Ah, que c'était dur de courtiser les filles de notre pays ! Récemment, après plus de 45 ans, j'ai retrouvé une fille de ma rue qui m'a avoué qu'elle avait eu le béguin pour moi et qu'à l'époque elle me trouvait beau... Elle m'avait sûrement mal regardé...
Amitiés.
Guy.
Des "canus", dans mon quartier il n'y en avait pas ! Avec le recul, je m'en rends compte, mais nous ne draguions pas les filles du quartier car souvent elles étaient les soeurs des copains (ou alors nous n'osions pas). Tous les soirs, on faisait l'avenue de la Bouzaréah et bien souvent nous revenions bredouilles de la chasse, mais nous gardions espoir pour le lendemain. Ah, que c'était dur de courtiser les filles de notre pays ! Récemment, après plus de 45 ans, j'ai retrouvé une fille de ma rue qui m'a avoué qu'elle avait eu le béguin pour moi et qu'à l'époque elle me trouvait beau... Elle m'avait sûrement mal regardé...
Amitiés.
Guy.
Le : 04/04/2008 20:44
Reine, tu n'es peut-être plus une Vénus, encore que, mais si tu te figures que j'ai quelque chose qui ressemble à n'importe quel morceau d'Apollon (j'ai pas osé dire Hercule), tu te goures léger... Peut-être l'oreille? Et encore, seulement le haut. Remarque, mon profil s'encastrerait sûrement bien dans le tien, vu le durillon de comptoir que je me tiens! Mais bon, hein, on a tous quelques km au compteur et il faut bien que ça se voie quelque part. J'ai fait ma révision des 67.000 le mois dernier... C'est plus le temps du slow que celui du rock'n roll et on en est tous plus ou moins là. C'est pas une raison pour se laisser aller : je muscle mes paupières trois fois par jour. Je ne te monterai pas une photo actuelle, la honte elle me monterait à la fugure, mais il y en a une qui date de 58, dans l'annuaire (repertoirepn.net, tu pourrais venir y faire un tour?), du temps que j'étais beau et qu'on m'appelait Jacky.......... Mais si tu tiens absolument à voir ma tronche d'aujourd'hui, il y en a une autre dans l'album, prise à Rognes l'année dernière. Pas de commentaires, hein?
Autre soge : si tu parles de Vincent Berenguer (de 48 et de la rue de la Consolation), il est aussi dans l'annuaire. Ma grand'mère habitait itou rue de la Consolation...
Autre soge : si tu parles de Vincent Berenguer (de 48 et de la rue de la Consolation), il est aussi dans l'annuaire. Ma grand'mère habitait itou rue de la Consolation...
Le : 04/04/2008 19:59
Cher Jacques ABBONATO
J'ai bien rigoler en te lisant ca vas tu as tout compris,maintenant au sujet DU CANUS tu dois repasser le l'ai T'ètèe à cette epoque mais comme beuacoup d'entre nous Z'otres je le suis moins je suis de juin 1944donc toi tu es mon NèNè et je te dois le respect
J'ai fait toute ma scolaritè maternelle au CEPchez les soeurs de ST VINCENT de Paul avec pas mal de filles qui sont sur le site
J'allais souvent le jeudi apres midi quand la MADREE me le permetter rencontrer les copines BERENGUER BLASCO ET BORONA ces te dises quelques chose mais mon FIEF etait surtout la consolation j'abitais BD de PROVENCE le batimentqui se trouvè face au garrage qui faisait l'angle et derriere le commissairiat du 1er arrondissement mes copins c'etaient Liguori benimeli Gato Collonna Anastasio .Je ne pense pas que tu venais dans le secteur Amitièes REINE
J'ai bien rigoler en te lisant ca vas tu as tout compris,maintenant au sujet DU CANUS tu dois repasser le l'ai T'ètèe à cette epoque mais comme beuacoup d'entre nous Z'otres je le suis moins je suis de juin 1944donc toi tu es mon NèNè et je te dois le respect
J'ai fait toute ma scolaritè maternelle au CEPchez les soeurs de ST VINCENT de Paul avec pas mal de filles qui sont sur le site
J'allais souvent le jeudi apres midi quand la MADREE me le permetter rencontrer les copines BERENGUER BLASCO ET BORONA ces te dises quelques chose mais mon FIEF etait surtout la consolation j'abitais BD de PROVENCE le batimentqui se trouvè face au garrage qui faisait l'angle et derriere le commissairiat du 1er arrondissement mes copins c'etaient Liguori benimeli Gato Collonna Anastasio .Je ne pense pas que tu venais dans le secteur Amitièes REINE
Le : 04/04/2008 16:02
Merçi Sauveur (qui était aussi le nom de mon pére) oui il fait beau ici, une légère brise souffle à travers la fenétre de la véranda oú j'écris sur mon ordinateur. Plus tard ma fille Michelle, qui est déscendu de New York pour mon anniversaire aujourdh'ui. viendra me chercher et nous irons manger avec sa s 1/2 ur Alexandra au restaurant Italien prés d'içi.
La vie est bonne en Floride, et je vie non pas avec mes regrets mais avec mes souvenirs, car... c'était beau la bàs aussi hein Sauveur!
Pierrette
http://www.publishedauthors.net/pierrettelilicamps/
La vie est bonne en Floride, et je vie non pas avec mes regrets mais avec mes souvenirs, car... c'était beau la bàs aussi hein Sauveur!
Pierrette
http://www.publishedauthors.net/pierrettelilicamps/
Le : 04/04/2008 13:08
Reine (Ok, Schiano di COLA), mon doigt il a fouché, ce falso et pourtant, y'a loin du C au U ou même du O... Il a dû faire un triple salko piqué avec atterrissage sur le U (et non sur le ...). Ji bas gombris coument ji fir cit bitise! Les noms esquintés, je connais par coeur : je ne compte plus les fois où on a mis un B, deux N et deux T à mon nom, sans compter les autres crimes du même tonneau mais, le plus beau, c'est quand on a changé le O terminal par un EAU splendide.... Tu coup, j'en ai même perdu mes racines ritales, que le pépé il a dû faire un bond dans sa tombe! Imagine un peu qu'on orthographie ton nom Squianeau d'Ycaulat... Tu vois d'ici le fou rire?
Nan, ji souis jami fachi d'ine blag qu'il i boune.
Quant à s'être cotoyés, j'en doute parce que je ne fréquentais pas (pas encore!) les maternelles : je suis de 41, à moins que l'année dont tu parles (45) soit celle de la naissance de ton frère et que tu sois plus "vieille" que lui? Là, je dis pas... mais ça dépend du quartier dans lequel tu habitais : outre ma rue, je traînais souvent mes guêtres du côté de la rue Friz Müller et alentours, ainsi qu'à la Basetta. Il y avait par-là de jolis canus, dont tu étais sans doute...
Nano, j'ai vu que tu parlais des Buresi : serait-ce Jacques Buresi, pas très grand et très mince? Si oui, on a bossé ensemble à la télé, bd Bru et je connais bien son fils qui, aux dernières nouvelles, réside en Alsace. À moins qu'il n'ait regagné les pénates de la famille, à Porto Vecchio?
Nan, ji souis jami fachi d'ine blag qu'il i boune.
Quant à s'être cotoyés, j'en doute parce que je ne fréquentais pas (pas encore!) les maternelles : je suis de 41, à moins que l'année dont tu parles (45) soit celle de la naissance de ton frère et que tu sois plus "vieille" que lui? Là, je dis pas... mais ça dépend du quartier dans lequel tu habitais : outre ma rue, je traînais souvent mes guêtres du côté de la rue Friz Müller et alentours, ainsi qu'à la Basetta. Il y avait par-là de jolis canus, dont tu étais sans doute...
Nano, j'ai vu que tu parlais des Buresi : serait-ce Jacques Buresi, pas très grand et très mince? Si oui, on a bossé ensemble à la télé, bd Bru et je connais bien son fils qui, aux dernières nouvelles, réside en Alsace. À moins qu'il n'ait regagné les pénates de la famille, à Porto Vecchio?
Le : 04/04/2008 12:46
Mes Chér (es) Amis (es), Bonjour,
Grace à toi Christian ,Georges (J.B CATALA) m'a contacté hier soir,j'en était heureux, apres 45 ans d'Absences.Comme koi que le téléphone P.N. ressemble comme une goute d'eau au téléphone "Arabe".
Par contre, une bonne nouvelle, arrive souvent avec un mauvaise!
J'ai appris que le frére de Georges que Denis CATALA (Son frére) nous à quitté en 1998.
Une pensée pour lui est sa famille.
Pour un peu rafraichir l'Atmosphere; sur les langages de la rue d'Alger,Aujourd'hui beaucoup encore continue,de vocalisés les termes issus de nos mélanges;
Exemple:
FOURCHETTA --- Fourchette
TABLA------------- La Table
FATCHA----------- Quelle tête tu as (ADEK EL FATCHA)
TRICITE----------- Electricité
Et bien d'autre vocable encore, je vous promet de faire une liste du style LAROUSSE
Je vous embrasse à tous.
Au fait mes ami (es) Venez faire un tour au "3 Horloges" (Mon nouveau site)
Christian, j'espere que tu ne m'en veut pas d'utilisé ton merveilleux site,pour ma promo
Bises a vous toutes et tous
NANODU36
Grace à toi Christian ,Georges (J.B CATALA) m'a contacté hier soir,j'en était heureux, apres 45 ans d'Absences.Comme koi que le téléphone P.N. ressemble comme une goute d'eau au téléphone "Arabe".
Par contre, une bonne nouvelle, arrive souvent avec un mauvaise!
J'ai appris que le frére de Georges que Denis CATALA (Son frére) nous à quitté en 1998.
Une pensée pour lui est sa famille.
Pour un peu rafraichir l'Atmosphere; sur les langages de la rue d'Alger,Aujourd'hui beaucoup encore continue,de vocalisés les termes issus de nos mélanges;
Exemple:
FOURCHETTA --- Fourchette
TABLA------------- La Table
FATCHA----------- Quelle tête tu as (ADEK EL FATCHA)
TRICITE----------- Electricité
Et bien d'autre vocable encore, je vous promet de faire une liste du style LAROUSSE
Je vous embrasse à tous.
Au fait mes ami (es) Venez faire un tour au "3 Horloges" (Mon nouveau site)
Christian, j'espere que tu ne m'en veut pas d'utilisé ton merveilleux site,pour ma promo
Bises a vous toutes et tous
NANODU36