pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : sauveurEnvoyer un mail

Le : 14/04/2008 18:57

Bonjour à Tous

Qui se souvient d'Eleonore qui tenait une epicerie à l'angle des escaliers reliant le Bd de Provence à la rue Weinbrenner -On y allait pendant la guerre pour acheter du lait,nous en manquions terriblement et mes congénères doivent avoir recu des piqûres de calcium pour remedier au deficit dû au rationnement de la guerre malgré les tickets enfants ou adolescents
Qu'elle était sombre (mes souvenirs) cette épicerie
Nous les gamins glissions sur le côté gauche (regardant vers la rue Rochambeau)
En face ,au coin oppose,le cinema americain y avait ses locaux-(Que de dessins animés projetés sur le drap en guise d'ecran de la cantine de l'Ecole des Lavandieres devenue Sigwalt:Donald,Pluto,Mickey)l'armée americaine y revisait ses films avant de les projetait je ne sais où mais par une des fenêtres ouvertes on pouvait voir ces films projetés sur un mur interieur
Des sous sols du Bd de Provence proche la parfumerie AZURVILLE fabriquant la brillantine ROJA embaumait le quartier,les jeunes femmes du quartier, foulard sur la tete conditionnait les fioles assises devant une machine automatique

 

De : Robert FalzonEnvoyer un mail

Le : 14/04/2008 18:55

Pour Guy et Freddy

La suite aprés le 11 cheval de bronze
12- léve la chemise et mets la blouse
13- Marie Thèrése qui va á la fontaine
A d´autres la suite
Bonne journée



 

De : Jacques Abbonato (rues Barra et Léon Roches)Envoyer un mail

Le : 14/04/2008 18:49

Douze : la conclusion était en arabe, feqa'rq i djouze avec un geste très expressif... Pauvre grand-mère. Pour le onze, nous on disait : onze, le cheval de bronze, comme il tombe il reste, ce qui veut dire que le onzième à sauter devait rester là où il était tombé, après s'être arrangé pour éviter les dix précédents qui étaient déjà au sol et tant pis pour le douzième qui devait atterrir en dehors du tas.

Je rappelle aux impatients (hein, Yvon?) qu'un simple clic sur le bouton Enregistrer suffit pour que le message soit pris en compte. Il y a deux façons de s'en apercevoir (sauf pour ceux qui utilisent la sous-merde Internet Explorer) : en bas de la page et à gauche, il y a une zone qui mentionne le site en cours d'accès (ou Terminé quand tout est affiché) et le bouton lui-même change d'aspect : le mot "Enregistrer" est entouré d'un cadre pointillé. Alors, avant de vous énerver sur cette pauvre souris, observez votre page aux endroits indiqués et surtout perdez cette habitude de cliquer cent fois (ou 43) au même endroit, non seulement ça ne sert à rien pour aller plus vite, bien au contraire, mais en plus, vous chargez votre ligne téléphonique, donc vous freinez tout parce que, à chaque clic correspondent un envoi ET sa réponse. Chaque clic est pris en compte : quoi qu'il arrive, vous déclencherez l'action prévue autant de fois que vous aurez cliqué.

 

De : pierretteEnvoyer un mail

Le : 14/04/2008 18:46

Au cas ou vous croyez que notre langue P.N est universelle..j'ai une fois (quand j'habitais en Suisse) etait voir le film, "La Verite' si je ment." avec une amie Suisse, et a la fin, malgre'que j'avais bien rie aux betises et humour so typiques de chez nous, a la fin mon amie Ruth (qui parle six langues courament) m'a dit "Pierrette j' ai rien compris!" ---Paubreta!!

 

De : michele ex benazaEnvoyer un mail

Le : 14/04/2008 18:38

a tous nos chers internautes de babel oued n/appuyez pas plusieurs fois i seul clique suffit....il faut de la patience.......

 

De : LANGLOIS Alfred (Freddy)Envoyer un mail

Le : 14/04/2008 18:26

A Jacques ABBONATO
La famille Follaca habitait au 30 - escalier C - au deuxiéme étage, le papa est décédé en 52 ou 53.
Ils étaient cousins avec les DEL VECHIO qui logeait au dessus d'eux, au troisiéme.
Il est certain que nous nous amusions avec "pas grand chose", je pense à la chasse aux sauterelles, criquets et autres gros matchos verts (nous leur faisions tirer des boites d'allumettes attachées à leurs pattes de derriere).
Je repense, aussi, aux jeux avec les boites de conserves qui munies de manivelle en fil de fer nous permettaient de jouer à la grue.
Parlons, ensuite, des descentes de la "montagnette" en aile de voiture (individuel) ou de camion (à plusieurs, accessoires de carrosserie que nous allions chercher à la grande casse située au dessous de la carrière JAUBERT.
Et encore : je dois en oublier !
Amitiés
Freddy
A Guy SOLTANA : excuses - mon message "s'est encore cassé avant la fin"
Amitiés
Freddy

 

De : LANGLOIS Alfred (Freddy)Envoyer un mail

Le : 14/04/2008 18:09

A Guy SOLTANA
le jeu que tu nommes "la fouera" est bien celui que nous appelions "UN LEBRUN/DEUX LAQUEUE", en effat trois LA CROIX et la suite : douze

 

De : PierretteEnvoyer un mail

Le : 14/04/2008 15:39

Mais Sauveur, ce site est aussi pour les gens de Bab el oued, tu sais..ceux qui habitaient au sud de la loire avant 62..et qui faisaient avec! Comme notre voisin du Cafe' Monsieur Marcos, qui construisait des fourneaux pour cuisine, et qui en 1943/4 deja a eux un client eccentric qui lui a demander d'en faire un, pour secher les legumes, a fin de les modifier et mettre en sachet et faire des soupes diverses...par la suite Monsieur Marcos m'a dit.."Il doit etre Maboul cuila!

Pierrette.

PS: Excusez mon manque d 'accents, je suis chez ma fille Alexandra pour m'occuper de son chien "Louie le c-n"...penadant qu'elle travaille aux Bahamas... et son ordinateur n 'est pas equipe pour les faire. Ah les sacrifices que l'on fait pour ses enfants.

Pierrette.

 

De : yaich benjaminEnvoyer un mail

Le : 14/04/2008 15:21

bonjour , bien que fidele du site, et apres avoir retrouvé certains copains, je ne vois pas apparaitre les noms de ceux qui partageaient nos jeux, au jardin de l'eglise st louis, et de l'ecole de la rue leon roches. je pense à henri pagierna , jean jacques voltaire, tony hansberger, maurice benichou ,hervé polito,palomba jean pierre ,planels joel ,juanito martinez et tant d'autres ...si certains d'entre vous se reconnaissent, ou si d'autres personnes pourraient me donner de leurs nouvelles 46ans apres, je serai ravi de les retrouver . bien amicalement un babelouedien qui n'a rien oublié

 

De : Guy Soltana (34, rue Mizon)Envoyer un mail

Le : 14/04/2008 15:17

à tous ceux qui ont connu nos jeux d'enfants,
Brusquement, je me souviens d'un jeu dont personne n'a parlé et que nous appelions "fouéra". N'était-ce pas par hasard le jeu dont parle Freddy et où nous récitions, les uns après les autres, en jouant à saute-mouton :
- un le brun,
- deux la queue,
- trois la croix,
- quatre la patate écrasée,
- cinq la seringue,
- six ma petite saucisse,
- sept les chaussettes de mon grand-père,
- huit les moules et les huîtres,
- neuf les deux gros rouleaux du boeuf,
- dix le panier de cerises,
- onze le cheval de bronze qui compte jusqu'à ouze...
Je ne me souviens plus de la suite.
Ces récitations étaient accompagnées du geste adéquat.

à Jacques Abbonato,
Lorsque nous allions au catéchisme, de la rue Mizon, côté avenue du Général Verneau, à l'église Saint-Louis, nous prenions le raccourci par la "montagne" que nous appelions "Gastan". Nous avions également comme jeu de dévaler la pente sur une aile de voiture retournée.

Qui se souvient du nom du curé de l'église Saint-Louis et qui avait une longue barbe ? Il était d'une extrême gentillesse.
Amitiés à vous tous, heureux gamins de Bab-el-Oued

 

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