Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

L'association des donneurs de leçon sur la vie passée de Bab el Oued est sur le point de déposer ses statuts à la Préfecture de la connerie.
Au lieu d'apporter une pierre à l'édifice de la mémoire du quartier et nous faire part de leur vécu personnel dont le bon sens nous interdit de critiquer la bonne volonté manifestée, rien, non rien, les donneurs de leçon n'apportent rien au creuset collectif de nos souvenirs et se croient autorisés à critiquer en professeurs de bonnes manières investis du regard avisé de l'historien, ceux qui osent se mettre à nu avec générosité. Le détail de leur absurdité est à la hauteur du nombrilisme qui les affecte; on ne les entend jamais sauf pour éructer; c'est bien en ajoutant des idées aux idées que l'on s'enrichit; et non pas en censurant la parole libre qui circule sur ce site de Mr TIMONER, avec leur soit disante érudition.
Chère Pierrette, du haut de vos 81 ans, continuez à nous dire vos émouvantes années de vie à BEO il y a 60 ou 70 ans. Je vois bien que votre vie a été marquée par une enfance dans un bar et non dans un cabinet d'avocats; et la simple des dignités est de ne pas juger votre expression et votre parcours. Cela s'appelle la tolérance, le repect, le droit de chacun à exister. Vous vous êtes souvent excusée à tort que vous n'aviez pas beaucoup fréquenté l'école dans votre enfance; est-ce pour autant une raison de vous railler avec ironie comme le font ces parvenus de la langue française. Ils sont outrés de lire qu'à l'avenue de la Bouzaréah chaque soir, le "andar et venir" de toute la jeunesse de Bab el Oued qui avait entre 15 et 18 ans dans les années 50 était une rencontre de la séduction sous toutes ses formes; c'est nier que la jeunesse est habitée, dans toutes les époques d'ailleurs, par une attitude importante tournée vers le paraître et la conquête amoureuse, Ils doivent être nés sur la banquise ou dans le désert.
Chère Pierrette, les chiens aboient, la caravane passe.
André TRIVES

bonjour à vous tous, amis, agitateurs de nos souvenirs de jeunesse!!
Je voulais dire un grand Merci à PIERETTE de m'avoir remémoré ce dicton que ma grand-mère et ma mère nous disaient souvent: "La vieille elle ne voulait pas mourir parce qu'elle en apprenait tous les jours" Je ne l'ai jamais entendu dire ici en Normandie et ça fait du bien d'entendre nos congénères nous rappeler nos souvenirs enfouis.
D'autre part, ma soeur, Colette MORENO souhaiterait avoir des nouvelles de Maryse MIGNOT et Paulette MENELLA (la fille du bijoutier de l'av de la bouzaréah)avec lesquelles elle était trés amie.
Jean-Jean Moréno

A tous les amis pieds noirs surtout a ceux de Bab el Oued, je prend plaisir de lire les messages de mes compatriotes mais parfois je suis peine de voir qu'il existe des polimiques entre nous .S'il vous plait restons pied noir avec notre humour de BEO< evidemment on ne se promenait pas a l' avenue de la Bouzarea avec une merguez et une anisette a la main, si certain ne comprend pas l'humour qu'ils se taisent et laissent les autres revaient de notre jeunesse. Moi j'habite en Australie et je prend un grand plaisir de lire ces rubriques avec nos betises de jeunesse continuez d'ecrire et de rechauffer nos coeurs .Amities a tous les pieds noirs
un pied noir exile JP

Quand j'étais jeune et je travaillais au café, un de nos client
etait Pascal Piat, Le patron d'Albert Camus et l'Editeur à Alger Républicain.
Un jour je lui ai demander comment qu'on écrivait un livre, et gentiement il m'a répondu:"Pierrette, tu écris comme tu parles""

Alors voilà je n'avais aucune idée quand j'ai commencer a écrire
sue ce site, que j'allais soulever une telle polémique, encore moins, la méchanceté gratuite. A 81 ans je croyais avoir tout vu
mais ça c'est du nouveau. Alors c'est pas étonnant que "la vieille ne voulait pas mourir, elle en apprenait tous les jours.!! ya rasra1

Pierrette.

bonjour je voudrais savoir de q'elle bt habité vos amies,moi j'habité le bt 2 cité des eucalytus.face a la gendarmerie ,message pour boisis.

Merci à qui pourrait m'aider à retrouver des amis de la cité des Eucalyptus. Il s'agit de la famille Sendra ou Cendra Coco, Anne-Marie...

Pardon des mini-jupes à BEO en 1956?
UNE UTOPIE!

Amitiés Loly de la Bassetta.

Monsieur Alberola,

Si pied Noir signifie être buveur d’anisette et se balader une merguez à la main, alors je n’est plus rien à faire avec cette dénomination.

Le fait que vous pouvez écrire sur ce site que les texte du «café de Cadix» sont comparables à ceux du grand Albert CAMUS relève de la bêtise et je suis poli, un peu de respect pour ce grand homme et surtout un des plus célèbres Pieds Noirs. Le pauvre doit se retourner dans sa tombe.

Bon j’ai plus envie de batailler.

Dommage Christian ton site est descendu bien bas.

Gégé

QUI SE SOUVIENT DE MOSIEUR ANKOUA QUI AVAIT UN MAGASIN DE CHAPELLERIE A LA RUE D'ISLY?CE MATIN J'AI EU LA JOIE DE CONNAITRE SA FEMME QUI EST VENUE S'INSTALLER EN ISRAEL.ILS HABITAIENT A SAINT EUGENE{SON EPOUX EST DECEDE IL Y A QUELQUES MOIS}

Monsieur Martinez, qu'est que vous osez dire... vous blasphémez... Mais le feuilleton du café de Cadix c'est le top du top ! je vous conseille de relire le passage ou l'on parle de la dame qui venait prendre son café sans mettre de culotte. Cest le summum de l'humour "pied-noir". Relisez aussi les souvenirs artificiels de certains qui insert dans la vie de notre quartier des evenements qui n'interviendront que plusieurs années plus tard.
Mefiez vous Monsieur Martinez, vous allez vous attirer les foudres des gardiens du sites pour qui ces écrits sont sacrés et que l'on ne peut surtout pas critiquer sous peine de se faire traiter de tous les noms. Certains adeptes vont même jusqu'a comparer ces textes bancales et approimatifs à ceux de Camus, c'est pour vous dire à quel point vous faites fausse route. On vous soupçonnera de renier vos origines. Le "Pied-noir" de bab-El-Oued- doit être conforme à sa caricature. Humour gras, boniments à tous les étages, merguez dans la main droite et dans la gauche verre d'anisette. Nos souvenirs doivent être conformes non pas à la réalité, mais à ce que certains veulent qu'ils soient... Alors merci à ceux qui écrivent que à BEO, en 1956 les filles portaient des mini-jupes et que l'occupation favorite de la jeunesse c'était une sorte de jeu permanent d'une séduction au rabais. J'ai, un jour, osez m'élever contre ce type d'écrits, j'en ai reçu plein la poire... Maintenant je fais attention. Tout est au mieux dans le meilleur des mondes.