pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : michel suchEnvoyer un mail

Le : 13/07/2008 19:54

Pour Chérif
Bonjour Chérif. Nous avons certainement joué ensemble dans le quartier, avec aussi mon cousin Marcel.
Marcel Benacer. Son père tenait une épicerie en face du fanal...
C'est assis sur ce fanal, les soirs où ma grand-mère racontait des histoires qui faisaient rire l'auditoire, que j'ai appris en l'écoutant ce qu'est l'humour, la dérision et le second degré... qui sont à l'intelligence ce que l'eau est à l'anisette... un révélateur.
Mes oncles élevaient des chèvres et vendaient le lait dans le quartier.
Tu les a peut-être connus?
Michel

 

De : Gigi2Envoyer un mail

Le : 13/07/2008 17:07

Bonjour,

Pour Guy Soltana : Pour l’enfite Langlois Alfred a répondu.
C’est très désagréable.
En vacance à Elche, il y a quelques années, j’ai eu l’enfite. Une vieille mémé Espagnole me l’a enlevé en cinq minutes, alors que je souffrais depuis plusieurs jours. Rien n’y faisait.

Pour Alain Oliviero :
J’ai dû sûrement te connaître de vue. J’habitais au 39 Rampe Valée, juste en face de l’épicerie de Mme François. Jean Guy Delcy habitais dans le même immeuble que moi.
Sa mère était infirmière à domicile et son père travaillait à la Poste.
N’y avait il pas un poulailler au bas de ton immeuble ? Je suis de 1945.
Sidney Boissis est un copain de mon frère Françis. Celui-ci possédait un Vespa de couleur or métallisé. Peut être que tu t’en rappelle ?

Amitiés,

Gigi2.

 

De : pierretteEnvoyer un mail

Le : 13/07/2008 17:02

Histoire d'un petit Yaouled.

Il y avait souvent des petits cireurs au café, je ne sait pas pourquoi mais ont ne voyait jamais le même revenir..un jour un d'eux rentra at
pauvréto il avait le front ouvert et le sang qui lui coulait sur son nez.Il y avait au comptoir un soldat Americain qui m'a
demander si nous devions peut être l'emmener chez un docteur. Alors nous voilà partit tous les trois chez le toubib le plus pret Ave de la Bouzaréah; Un fois la' ce c-n de docteur voulait savoir si c'etait l'Americain qui l'avait frappé? Non je lui ai répondu, il n'est içi que pour payer votre facture! Apres avoir été soigné, nous sommes
retourner tous les trois au cafe', pour reprendre la boite de
cirage. Le petit n'a pas voulu me dire qui l'avait frappé et
il est partit. je ne l'ai jamais plus revu, le soldat Americain non plus.
C'est drôle les souvenirs qui nous assayent, et des fois je me demande si ce petit Yaouled, mainteant un vieil Algérien de presque mon
age, se souvient encore de moi? J'éspére que oui.

 

De : cherifEnvoyer un mail

Le : 13/07/2008 16:56

A Michel Such
Nous étions certainement voisins , et avons probablement joué ensemble. J'habitais au 3 bis, rue Francois Serrano (impasse), au pied de l'escalier. Je confirme que l'on pouvait tout acheter en vrac chez madame Nivart (sucre, huile, vin et même des oeufs à l'unité). La devanture de son magasin qui donnait sur le boulevard de Champagne, était bien garnie de bonbons .Cherif

 

De : sauveurEnvoyer un mail

Le : 13/07/2008 14:24



Bonjour à Tous

Vous parlez de pois chiches grillés,ce dont je me souviens comme pendant la guerre 39-45,le café etait rationné,nos parents s'etaient procuré un appareil de torrefaction,ils faisaient griller des pois chiches et ces grains moulus remplaçaient avantageusement (j'en doute) le café

 

De : pierretteEnvoyer un mail

Le : 13/07/2008 14:11

Ma mere Rose, tout en s'occupant des clients du Café depuis 5 hrs du matin, ainsi que de sa famille, surtout un de ses fils (Denis) qui était handicapé mental comme ont dis aujourd'hui; prenait aussi le temps de soigner les gens du quartier, qui étaient affligés par des maladie courantes dans les années quarante, comme la Thyphoides. la Malaria,le Thyphus et les Meningites (qui tuaient les enfants en 24 heures); elle se levait souvent la nuit pour faire des piqures et il va sans se dire qu'elle ne faisait jamais payer personne. Certains ingrats je me rappéle ne faisait pas faire la derniére piqure, pour ne pas avoir a la remercier!! mais elle en avait l'habitude.
Elle n'avait jamais peur d'attraper ces maladies pourtant si contagieuses, ni de les apporter a la maison a ses enfants. Peut être elle avait tord, qui sait? Et c'est pour ça qu'aujourd'hui quand je veux embrasser quelqun qui a un rhûme, et qu'il me repousse en disant "Non je ne veux pas que vous attrapiez mon mal!" Je les embrasses quand même en leur disant: "Surement... vous rigoler?"



 

De : POVEDA Jean-FrancoisEnvoyer un mail

Le : 13/07/2008 13:03

Bonjour
Le compère-loriot ou orgelet . En tout
cas, c'est une affection d'une glande lubrifiante d'un cil.
Et c'est provoqué par un courant-d'air (roulé en voiture, vitre ouverte
vitre ouverte par ex;)Ce n'est pas un compère...

 

De : michel suchEnvoyer un mail

Le : 13/07/2008 11:21

Mais à cul pas.
Va pour Compère Lorriot. Je viens de téléphoner à ma mère et quand je lui parle de "compalorio" elle me demande de quoi je lui parle. Alors je lui explique: Tu sais la pièce de un sou trouée ( la même utilisée pour bloquer la ficelle des toupies) que Mémé frottait sur la paupière des gens en marmonnant des prières et qu'elle jetait ensuite dans la rue... Mon pôvre fils! Tu perds la boule! Si ça continue, tu vas finir chez ROUBY! C'est pas compalorio, c'est Compère Lorriot, répète après moi Compère Lorriot. Oui Maman... Compère Lorriot... Compère Lorriot... Compère Lorriot...Et moi qui déclenchait une Paule et Mick sur le site à Christian... Non Maman, j'veux pas aller chez ROUBY...
Vivent nous ôtes.
Michel
PS: si quelqu'un peut me donner des informations sur ce Monsieur Lorriot que je ne connais pas...

 

De : anne marieEnvoyer un mail

Le : 13/07/2008 10:34

j'ai le regret de vous annoncer le décès de notre maman- Mme Giorgini Marthe- qui habitait rue maxime noiret à Alger.Elle venait chaque année à Rognes et se faisait une joie de revoir tous les gens qu'elle avait connu.Merci au site qui nous permet de vous l'annoncer.Elle ne souffre plus.

 

De : Denise SoltanaEnvoyer un mail

Le : 13/07/2008 09:59

Monsieur Bisbal, votre blog me permet d'en douter. En revanche, lorsqu'au début des années cinquante venaient chez-nous « NOS COUSSINS DE PARIS DANS LEUR CHOLIE AUDO » et si notre riante vallée avait été peuplée de grands-mères maltaises, espagnoles ou tout simplement pieds-noirs, un forte odeur de pois chiches roussis (ou de petits pois, car nous ne connaissions pas les pois chiches) aurait anéanti tous les moustiques de la vallée du Rhin.

 

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