pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Mauricette BerneEnvoyer un mail

Le : 16/06/2020 13:59

L'institutrice rue Lazerges ( filles) du cours préparatoire s'appelait Mme Aiache
Elle est décédée en 1996 à La Seyne sur mer
Je suis sa fille
MBerne

 

De : ABEOEnvoyer un mail

Le : 10/06/2020 10:16



EVENEMENTS

En raison des contraintes sanitaires Monsieur le Maire de Carnoux en Provence a annulé toutes les manifestations jusqu’au 31 août 2020. De ce fait le Comité National du pèlerinage du 15 août ne pourra pas organiser sa manifestation en 2020. Une messe sera certainement célébrée ce jour là par le père Bernard LUCCHESI heure à déterminer.

René SANCHEZ
Président Exécutif du Collectif

 

De : VIDALEnvoyer un mail

Le : 09/06/2020 11:47

Vérités cachées de la guerre d'Algérie ?

Elles ne sont pas vraiment cachées, mais n'est pas plus aveugle que celui qui ne VEUT pas voir.

Tout est là devant nous, au grand jour, mais malheureusement notre histoire n'est pas dans l'air du temps à une époque où ils sont tous devenu gaulliste, même Marine.

C'est navrant.

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 07/06/2020 08:38

Jean Sévillia : l'imposture et la tragédie de la guerre d'Algérie

LE FIGARO HISTOIRE - Dans une puissante synthèse de cent cinquante ans d'histoire, Jean Sévillia, interrogé par Le Figaro Histoire, lève le voile sur Les Vérités cachées de la guerre d'Algérie et reprend à frais nouveaux l'ensemble du dossier depuis la conquête.
Par Michel De Jaeghere Publié le 6 novembre 2018
En mai 1958, Alger fut le théâtre d'immenses manifestations de fraternisation unissant Européens et musulmans sous le drapeau français.
En mai 1958, Alger fut le théâtre d'immenses manifestations de fraternisation unissant Européens et musulmans sous le drapeau français. © KEYSTONE-FRANCE/GAMMA-RAPHO. © BRUNO KLEIN/DIVERGENCE.COM.

«Historiquement correct» ou «incorrect»: Jean Sévillia s'est imposé en marge de son ½uvre d'historien de l'Autriche comme l'inlassable pourfendeur des préjugés idéologiques qui pèsent sur la vision de l'histoire que diffuse, trop souvent, notre société médiatique. Il fait le point dans son dernier livre sur les légendes qui ont fait de la guerre d'Algérie le théâtre d'une instrumentalisation peu soucieuse de la vérité des faits. (Les vérités cachées de la guerre d'Algérie, Jean Sévillia, Fayard, 300 pages, 20,90 ¤, à paraître le 24 octobre).

https://www.lefigaro.fr/histoire/2018/11/06/26001-20181106ARTFIG00199-jean-sevilla-l-imposture-et-la-tragedie-de-la-guerre-d-algerie.php

 

De : COHEN BACRI ALBERTEnvoyer un mail

Le : 05/06/2020 19:19



chers amis

j ai bien reçu vos messages qui m ont particulièrement touches et je vous en remercie tres sincèrement

je passe mon temps a l hôpital en cardiologie je viens de sortir de l hôpital g Pompidou a paris j ai déjà 6 stents et surtout une grosse

 

De : Jean Francois POVEDAEnvoyer un mail

Le : 05/06/2020 18:39

Je souhaite aoir des nouvelles de mon ami Henri Dahan . Merci.

 

De : seksek michelEnvoyer un mail

Le : 01/06/2020 17:29


BONJOUR A TOUS,SI L'UN D'ENTRE VOUS SAIT OU JE PEUX JOINDRE

MARCEL CHELTIEL(TCHOUSS)QU'IL ME LE DISE(OU QU'IL M'ECRIVE)

JE LAISSE MON NO DE PORTABLE SANS PROBLEME( J'AI CONFIANCE)

0681788217.D'AVANCE MERÇI A VOUS.

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 01/06/2020 08:33


Pour remplacer- un tout p'tit peu' notre rendez-vous annuel .....



extrait de SOUVENIRS D'EN FACE de Hubert Zakine.

Ah, l’ambiance de nos quartiers……..
Bab El Oued, notre paradis perdu !
Je me souviens de tout.
L’andar et venir sur notre Sunset Boulevard.
Les filles au balcon et les garçons, le nez en l’air.
La tête dans les étoiles et l’amour au fond des yeux.
Avenue de la Bouzaréah.
Trois Horloges-Square Guillemin et retour.
Le jardin Guillemin, théâtre de la comedia dell’arte.
La mamma dispute son chitane de fils.
C’est ça, pourris-toi bien !
Arrête de courir, tu es en nage !
Regarde le garde, il te regarde.
Chof, chof, oublie les zoublis.
La mère qui donne la tétée et les gobieux qui matent un maximum.
Un journal sur la tête pour se protéger de Kaddour qui se souvient de l’époque héroïque.
L’impératrice Eugénie sous l’ombrelle à Alger.
Coup de soleil et coup de crayon de Napoléon III pour dessiner les boulevards Laferrière et Guillemin.
Scandale à la cour.

L’ambiance de chez nous, le tcherklala, le voisinage…
Le manège pour le plaisir des petits et la colère des footballeurs en herbe.
Avec en face, Padovani qui tape la pancha
La plage des chevaux en toile de fond.
Souvenirs, souvenirs…
Et les nymphettes qui tournent la tête des Don Juan en herbe.
Vacances des humbles gens à la bonne franquette.
Viens taper une anisette et quelques zitounes.
Et pendant ce temps, la France elle se prépare à nous taper une olive.
Et nous, comme des babaos, on appelle Sainte Anne.
Comme des laouères, rien, on voit venir.
On est trop heureux ou trop naïfs.
La famille, les amis, la mer, le voisinage et le soleil.
Qu’est-ce tu veux de plus ?
Un peu de flouze, mais seulement un chouïa pour taper le cinéma.
Aouah, la loterie nationale, c’est pas pour nous !
On se contente de la loterie de la maison Jacques.
Fête foraine et radio-crochet.
Filets garnis ou trousseau bon marché.
Le bal des gens biens sous les flonflons de l’été.
Le bonheur est à nos portes.
Cinq dans tes yeux !
Laïsrana et là, y se red’resse.

*****

Les rues de mon quartier, elles appartiennent aux enfants.
Aux chitanes comme aux fils à pep’s.
Les entrées de maison pour se dobzer ou pour se mettre à l’abri quand il pleut.
Mais l’amitié de chez nous, c’est pas du chiqué……….
A la vie, à la mort, ma parole !
L’enfance…la rue…..les copains et l’école.
Les saisons se suivent et se ressemblent.
La rentrée au mois d’Octobre.
Le rire en bandoulière en guise de cartable.
Le maitre et la maîtresse, respect et tradition.
Les garçons d’un côté, les filles de l’autre.
Chacun chez soi pour éviter les histoires de famille.
La blouse grise du maître pour seule autorité.
Souvenirs indélébiles de l’enfance scolaire.
On a eu la plus belle des enfances.
Elle fut pauvre mais belle.
Au bout du compte, je me félicite d’être né pauvre.
Et d’avoir eu des parents qui savaient ce que compter voulait dire.
Sûr qu’on ne mangeait pas des ortolans mais la cuisine de nos mères, j’ te dis pas !
Avec trois fois rien, elles nous confectionnaient des plats qui chantent à notre mémoire.
Et si on n’avait pas d’argent, un café au lait ….et au lit……..sans croissant.
Demain le bon dieu, il sera grand.
Quand une porte se ferme, une autre s’entrouvre.
Et puis, on n’est pas des manchots.
Les adultes au travail et les jeunes à l’école…….ou en train de taper manqua oura.
Le jeudi matin, on imitait les porteurs contre une place de cinéma.
Et on embarquait pour Cythère en Cinémascope et en couleurs.
Si on avait les poches trouées, on tapait le match du siècle ou on jouait à fava vinga.
Les filles à la marelle, à tu l'as ou à la corde
Les garçons aux noyaux, aux tchappes, à la toupie ou à la carriole.
Football avec une balle en caoutchouc, une boite de chique et même en papier.
Les rois de la rue, tu montes, tu descends, c’était nous autres.
Du moment que les copains nous tendaient la main.
Plus heureux que nous, impossible.
On tapait cinq toutes les cinq minutes.
Cinq de la complicité.
Rien à voir avec le cinq dans tes yeux.
La main de fatmah en avant.
Protection contre schkoumoune et médisance.
Superstition des gens heureux.

 

De : MomoEnvoyer un mail

Le : 29/05/2020 13:02

Merci Michel tout va bien et le bonjour à tout le monde.Vive BEO. .Momo

 

De : seksek michelEnvoyer un mail

Le : 28/05/2020 18:15


SALUT MOMO, RASSURE MOI TOUT VA BIEN?

 

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