pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : CherifEnvoyer un mail

Le : 18/07/2008 16:15

A Domenech
Bonjour Domenech. Je devrais peut être dire bonsoir. En effet, il est 9h30 ici à Ottawa, alors qu'il est 15h30 en France.Je t'ai certainement connu. Je me souviens d'un jeune homme (ou adolescent )habitant au 3 rue Françcois Serrano . Ce jeune était plutot blond, et de corpulence un peu forte. Il avait un prénom composé (Jean Louis?). Il était , je crois collegien . Il était trop grand pour jouer avec nous à la "balle-prisonnier" dans la petite cour sur laquelle s'ouvre ton immeuble. Est-ce toi? ou un voisin à toi? Je me souviens aussi de Jean Claude, dont les parents trainant encore l'accent espagnol, tenaient un commerce de "vins et liqueurs" sur le boulevard de Campagne , à coté de l'épicerie du Mozabite. Salut

 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 18/07/2008 16:03

Momo nous a laissé un grand vide; à nous de le combler en poursuivant ce qu'il a entrepris pour construire un pont de fraternité entre les enfants de Bab el Oued. On cherche souvent dans la littérature des maîtres à penser et des directeurs de conscience pour orienter nos actions, il suffit pourtant de se souvenir de notre ami disparu pour éclairer les cavernes qui nous habitent.
Momo, ta lumière est éternelle...A bientôt!

 

De : RACHIDEnvoyer un mail

Le : 18/07/2008 12:59

A mon tour je me joints à mon ami Merzak,actuellement parmi nous,pour dire combien je ressents cette absence de mon frère et ami MOMO que je n'ai cessé de cotoyer pendant près d'un demi-siècle.
Repose en paix MOMO,notre souhait est de voir tes reves repris et réalisés.
RACHID

 

De : MerzakEnvoyer un mail

Le : 18/07/2008 12:45

Il aurait eu 62 ans aujourd'hui - MOMO - l'homme qui voulait tracer un trait d'union reliant les deux rives de la méditérranée.
L'homme qui,avec d'autres hommes et femmes de bonne volonté,voulait construire un pont de l'amitié.
Ayons une pieuse pensée pour lui .
REPOSE EN PAIX MOMO-
TAMENE Merzak

 

De : micheleex benazaEnvoyer un mail

Le : 18/07/2008 12:10

bonne nouvelle....serge chouraqui a ete retrouve....merci aux personnes qui ont essaye de m'aider dans mes recherches.

 

De : michele ex benazaEnvoyer un mail

Le : 17/07/2008 15:32

hier j'ai lance un avis de recherche par erreur j'ai ecrit choukroun serge au lieu de chouraqui serge......

 

De : pierretteEnvoyer un mail

Le : 17/07/2008 15:09

Actuellemnt Freddy, je n'ai jamais entendu parler de ce cafe',
ce qui m'etonnerait... car je ne pense pas que deux etablissment avaient le doit d'avoir le même nom dans la même ville.. Aussi notre Cafe' avait la deuxiême plus vieille licence à Alger! Il a malheureusment depuis etait dètruit et remplacé par une école de filles.
Mais j'aimerais bien quand même voir cette carte postale, si tu veux me l'envoyer à mon e mail.pkomarek25@aol.com

Merci de cette attention.

Affectueusement, Pierrette.

 

De : LANGLOIS Alfred (Freddy)Envoyer un mail

Le : 17/07/2008 14:06

A Pierrete
J'ai retouvé une vielle carte postale d'ALGER (je ne connais pas la date mais c'est ancien) sur laquelle figure UN CAFE DE CADIX, mais RUE DUPUCH, donc en centre ville.
Le savais-tu et est ce que c'est "l'ancétre" de celui de tes parents à BAB EL OUED ?
Amitiés
Freddy

 

De : michel suchEnvoyer un mail

Le : 16/07/2008 23:26

pour Michèle.
celui qui vous régalait de sa calentita en face du marché de BEO était mon oncle Emilo Massanet. En 62, il sont partis en Espagne...
Michel

 

De : michel suchEnvoyer un mail

Le : 16/07/2008 23:17

Merci cher André TRIVES de nous avoir, pour certains d'entre nous, fait découvrir l'amour que le professeur Pierre GOINARD portait à l'Algérie, son pays, notre pays.
C'est vrai que le peuple nouveau est aujourd'hui une espèce en voie de disparition. Génération après génération nous nous éteignons.
" Dékonnéné onnémor" dit la chanson créole.
Aujourd'hui,grâce à vous, le professeur Pierre GOINARD est de nouveau dans la lumière.
Il n'est pas encore venu le temps ou la petite lumière qui brûle en chacun d'entre nous va s'éteindre.
Cette lumière nous la portons au plus profond de notre âme.
Elle se nourrit de cette cassure immense, de cet arrachement douloureux d'avec notre terre nourricière.
Quand la vie nous quitte, cette lumière s'échappe pour rejoindre d'autres lumières.
Il restera toujours, sortie d'on ne sait où, une lumière flamboyante qui comme le soleil couchant va embraser la mer et renaître le lendemain.
Nous étions des enfants, de jeunes hommes, de jeunes femmes. Nous sommes aujourd'hui avec le temps qui passe, nous tous, qui n'avons jamais cessé de construire, les architectes d'une mémoire collective. Continuons...

Bonjour Chérif, bonjour Domenech.
moi aussi je suis de la génération de Domenech (1944) et de celle de mon cousin Marcel.
Ma tante Rosalie ne supportait pas ce surnom de TOTO.
Cette année, Marcel a pris sa retraite. Il vendait des légumes au marché d'Alligre à Paris. Et voilà! On n'a pas le temps de retourner sur la placette pour jouer au ballon que déjà on se retrouve au 3éme âge.
Domenech, ne te casse pas la tête pour te souvenir de moi, j'étais plus souvent en haut de la rue prés du garage Galléa et à partir de 54 j'ai suivi mes parents au Clos Salembier puis à Hussein Dey et enfin à la Consolation.
De toute façon, nous gardons en nous les mêmes souvenirs. Mme Nivart, le Rialto où Négro quelques fois nous faisait entrer sans payer avec ma grand-mère pour la remercier de lui avoir "quitté" le coup de soleil. Ce qui ne l'empêchait pas de nous donner quelques coups de roseau sur la tête pour sauvegarder les fauteuils de bois du Rialto. (voir mon film "Oranges amères" sorti dans l'indifférence en 1997). Le marchand d'oublies sur le petit square, Tago, Marteau le fou, Kikilomètre...
Bon! Allez! C'était le bon vieux temps...
Michel

 

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