pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : sellamEnvoyer un mail

Le : 17/09/2008 00:30

Odette encore moi!

Regarde dans la 2e page "menu" et plus bas voir " me contacter"

 

De : SellamEnvoyer un mail

Le : 17/09/2008 00:19

Bonsoir Odette!

Tu scannes tes photos en question et tu envoies á notre cher ami Christian. christian@timoner.com
Si possible nomme les noms des personnes sur les photos.
Amitiés á tous
Sellam

 

De : mireilleEnvoyer un mail

Le : 16/09/2008 18:00

J'ai vécu à BEO et j'ai fréquenté l'école ORT, j'ai hélas perdu de vue mes amies de l'époque, qui sans doute se sont mariées et ont changé de nom, je me souviens de Monique FITOUSSI, j'aimerai beaucoup la retrouver

 

De : ATTARD odetteEnvoyer un mail

Le : 16/09/2008 17:29

j'ai des photos d'école à mettre en ligne.
pouvez-vous m'indiquer la procédure
cordialement
O ATTARD

 

De : ArletteEnvoyer un mail

Le : 16/09/2008 16:23

A Alain Chouquet

Bonjour,

Je viens de retrouver cette excellente lettre de Mr CHARRUT. Tout est dit et bien dit. La vérité que la vérité. J'espère que nos hommes politiques en tiendront compte ce que je doute.
Merci pour cette info
Amicalement
Arlette

 

De : ArletteEnvoyer un mail

Le : 16/09/2008 16:10

Message destiné à Alain Chouquet

Bonjour,

Je viens de prendre connaissance de votre message, j'aimerai bien retrouver la lettre écrite par Monsieur Clément Charrut, dans quelle rubrique du site Alger.roi.fr se trouve t-elle ? Je vous remercie de votre réponse.
Amicalement

 

De : Alain ChouquetEnvoyer un mail

Le : 16/09/2008 15:10

Allez voir la lettre envoyée par Monsieur Clément Charrut, sur le site Alger-roi.fr. Un modèle du genre. Elle devrait paraître dans toute la Presse.

 

De : siguenza philippeEnvoyer un mail

Le : 16/09/2008 12:48

Bonjour a tous mes amis P N de B E O ET SPECIALEMENT DE LA RUE DE TAINE.
J'ai eu de gros problemes avec ORDI c'est de là que vient mon silence par courrier email a tous ceux qui correspondaient avec moi.
De plus le coeur n'est pas au rendez vous avec le gros probleme de notre fils je ne me sentais l'envie de parler avec qui que ce soi enfin voila je vais essayer de renouer le contact.
J'adresse mon bonjour a vous tous,et merci a CHRISTIAN pour ce site magnifique .

 

De : JoguiEnvoyer un mail

Le : 16/09/2008 11:54

Au sujet du documentaire sur la rue d'Isly, vous avez tout de même remarqué que l'on ne dit pas Fusillade, mais bien MASSACRE de la rue d'Isly. Il était temps que l'on emploie ce mot barbare. Bonne journée

 

De : Pons SéraphinEnvoyer un mail

Le : 15/09/2008 21:48


Souvenez-vous du 23 mars 1962, ce jour des enfants de BAB EL OUED, ont laissé leur vie sur les térrasses et trottoirs de notre quartier.
Suite à une fusillade, qui a couté la vie à 7 soldats du contingent,les réactions immédiates de l'armée FRANCAISE, des gendarmes, des C R S, aprés nous avoir encerclés,les chars, les automitrailleuses, et même le renfort de l'aviation les fameux T6, le blocus de BAB EL OUED prenait forme sous un déluge de feu et de sang,ils étaient la pour mater l'insurrection Pieds Noirs, comme ils disaient, ces MESSIEURS DE PARIS.
Cette journée fût longue, et triste, sur la térrasse de l'immeuble qui faisait l'angle de la rue Jean Jaures, et de la rue Phlasbourg, Lucien PALLANGIAN tombait sous les balles FRANCAISES, à 19 ans.
La rue des Moulins,la cité des vieux Moulins, la rue Cardinal Verdier, l'avenue de la Bouzaréah prolongée,la rue Pierre Leroux, étaient sous le contrôle des gendarmes mobiles, les C R S, éffectuaient les perquisitons domiciliaires,et fouillaient les appartements l'un aprés l'autre,en embarquant les hommes, et les jeunes, j'ai été emmené et me suis retrouvé à bord d'un camion de gendarmerie, il y en avait une bonne dizaine les uns derriére les autres, garés prés de la place Dutertre,vers minuit nous avons quitté Bab El Oued, pour être détenus dans un camp qui s'appelait le Camp du Lido, je pense qu'il devait être du côté de fort de l'eau.
Nous avons été tous relachés le 27 mars 1962 à 22h00 bd Malakoff, nous n'étions pas au courant de la fusillade de la rue D'Isly,c'est à notre retour que nous avons appris ce massacre.
Je me souviens des gens qui étaient avec moi, il y avait, CASAGRANDE,les fréres ROVETTO, CASTELLANO,les fréres AIMEE,ARFI Pierre,et tous les autres qui se reconnaitrons, nous qui sommes les derniéres générations à avoir vécu ce drame, n'oublions jamais nos soeurs et nos fréres tombés sous les balles francaises au nom de notre ALGERIE FRANCAISE.

 

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