Liste des messages
Le : 30/07/2020 17:03
Ce samedi 1er août,nous embarquons pour Alicante,à vous toutes et tous,
je vous retrouveraient en septembre amitiés d'un ami de BEO et tous ceux de là-bas,Henri
je vous retrouveraient en septembre amitiés d'un ami de BEO et tous ceux de là-bas,Henri
Le : 30/07/2020 11:30
Mon père était musicien (trompettiste et chanteur) dans les orchestres de Georges Menella et Lucky Starway entre les années 1951 et 1956. Si quelqu'un sait quelque chose ou a des informations et / ou des photos de ces deux orchestres entre les années mentionnées, je serais très reconnaissant si écrire. (Le nom artistique de mon père dans l'une de ces deux orchestres était Salvador Garcia "le chanteur Cubain Gonzalo Garcia
Le : 28/07/2020 18:28
salut christian,j'ai un message dans mes spams
est-ce que ça vient de toi ?j'ai un doute.
Le : 25/07/2020 22:19
Je recherche José SANCHEZ né en septembre 1940 avenue de la bouzareah a coté de la boucherie chevaline HENNY bab el oued ami d'enfance a fait son service militaire e Relizane je posséde une photo de lui qui m'avez envouyé
j'aimerais bien le retrouve si quelqu'un le connait pour me donner de ses nouvelles j'espère MERCI TON AMI Marcel
j'aimerais bien le retrouve si quelqu'un le connait pour me donner de ses nouvelles j'espère MERCI TON AMI Marcel
Le : 23/07/2020 19:52
De l'Algérie on n’en guérit jamais Albert Camus
LES ODEURS DE LÀ-BAS
Sens-tu le frais parfum de la blanche anisette
Dans le verre embué ? Et celui des brochettes
Aux portes des cafés ? De là-bas c'est l'odeur.
Me voici transporté sous l'oranger en fleurs
Des souvenirs, soudain, s'ouvre tout grand le livre
Quand toutes ces senteurs se mettent à revivre,
C'est un ciel éclatant d'azur et de vermeil
Une mer d'émail bleu ondulant au soleil
C'est la vigne naissant au sein des terres rouges
C'est midi si brûlant que l'ombre seule bouge
C'est l'ardente clarté courbant les floraisons
C'est la chaleur, la plage; c'est notre maison.
Respire à pleins poumons cette odeur généreuse
Et vois le bourricot sur la route poudreuse
Qui trotte résigné, chargé de lourds paniers
Qui lui battent les flancs. Retrouve les palmiers
Aux écailles brunies dont la houppe balance
Dans les cieux en fusion la verte nonchalance
Qui, respire bien fort les parfums de là-bas
Et tu verras alors, emplissant les cabas
En tunique de sang, la tomate pulpeuse
L'orange ensoleillée et la grappe juteuse
Tu sentiras l'odeur des couscous épicés,
Des paëllas fumantes, des piments grillés,
Et l'arôme fruité de notre huile d'olive
La fragrance salée du rouget, de la vive
De la dorade rose au bout de l'hameçon
Dont on se mijotait des soupes de poissons
Vois les figues sucrées emplissant la corbeille
Près desquelles tournoient les friandes abeilles
Délaissant le jasmin langoureux, obsédant.
Nous mordions dans la vie, ensemble, à pleines dents
C'était la joie, le rire, c'était le bonheur !
Le passé contenu dans ces fortes senteurs
C'était les temps heureux, c'était notre richesse...
Car l'odeur de là-bas, c'était notre jeunesse !
LES ODEURS DE LÀ-BAS
Sens-tu le frais parfum de la blanche anisette
Dans le verre embué ? Et celui des brochettes
Aux portes des cafés ? De là-bas c'est l'odeur.
Me voici transporté sous l'oranger en fleurs
Des souvenirs, soudain, s'ouvre tout grand le livre
Quand toutes ces senteurs se mettent à revivre,
C'est un ciel éclatant d'azur et de vermeil
Une mer d'émail bleu ondulant au soleil
C'est la vigne naissant au sein des terres rouges
C'est midi si brûlant que l'ombre seule bouge
C'est l'ardente clarté courbant les floraisons
C'est la chaleur, la plage; c'est notre maison.
Respire à pleins poumons cette odeur généreuse
Et vois le bourricot sur la route poudreuse
Qui trotte résigné, chargé de lourds paniers
Qui lui battent les flancs. Retrouve les palmiers
Aux écailles brunies dont la houppe balance
Dans les cieux en fusion la verte nonchalance
Qui, respire bien fort les parfums de là-bas
Et tu verras alors, emplissant les cabas
En tunique de sang, la tomate pulpeuse
L'orange ensoleillée et la grappe juteuse
Tu sentiras l'odeur des couscous épicés,
Des paëllas fumantes, des piments grillés,
Et l'arôme fruité de notre huile d'olive
La fragrance salée du rouget, de la vive
De la dorade rose au bout de l'hameçon
Dont on se mijotait des soupes de poissons
Vois les figues sucrées emplissant la corbeille
Près desquelles tournoient les friandes abeilles
Délaissant le jasmin langoureux, obsédant.
Nous mordions dans la vie, ensemble, à pleines dents
C'était la joie, le rire, c'était le bonheur !
Le passé contenu dans ces fortes senteurs
C'était les temps heureux, c'était notre richesse...
Car l'odeur de là-bas, c'était notre jeunesse !
Le : 22/07/2020 21:33
Toute mon amitié à vous tous portez vous bien ! je n’ai toujours pas retrouver la petite fille farese de la rue jean_jaques rousseau Michèle Martinez si quelqu’un la connaît je vous remercie bien amicalement 👣🇫🇷
Le : 22/07/2020 12:49
J'ai omis de preciser la demande est de Mm Logassi Claudette .
Le : 22/07/2020 11:04
Recherche photos de l'école Soggema Jusqu'à l’année 49 a Alger .Merci
Le : 20/07/2020 18:31
SALUT MOMO ,J'ESPERE QUE TOUT VA BIEN,DONNES NOUS DE TES NOUVELLES
TU A APRIS POUR ALPHONSE LIGORI,UN AMI DE +QUI EST PARTI
BON A BIENTOT.