Liste des messages
Le : 03/12/2008 01:11
Ne confondez-vous pas la rue de la Bretonnière avec la rue Rossetti? Presqu'à l'intersection de la rue Montaigne et de la rue de la Bretonnière, et sur celle-ci à droite, il y avait l'accueillant Orphéon Espagnol. Ne serait-ce pas le centre auquel vous pensez?
Rue de la Bretonnière , en bas , côté avenue de la Bouzaréah, habitaient les frères Ménella, l'un d'eux avait pour prénom François, mon condisciple chez madame Andreu, à Franklin, en 44/45, quelqu'un les connait-il? C'était dans l'immeuble du député Goeau Brisonnière, leur mère était concierge.
D'autre part, qui connait la Pro Patria, où on allait faire du culturisme ? c'était rue de l'Alma, sous le marché.
Rue de la Bretonnière , en bas , côté avenue de la Bouzaréah, habitaient les frères Ménella, l'un d'eux avait pour prénom François, mon condisciple chez madame Andreu, à Franklin, en 44/45, quelqu'un les connait-il? C'était dans l'immeuble du député Goeau Brisonnière, leur mère était concierge.
D'autre part, qui connait la Pro Patria, où on allait faire du culturisme ? c'était rue de l'Alma, sous le marché.
Le : 03/12/2008 00:02
Salut jogui. Merçi de me rappeler les chardonnerets car moi aussi je faisais partie de l'association. Peut-être avec dédé et huguette!!je chantais et dansais et c'était des moments extraordinaire qui à marqué ma jeunesse. Peut-être me reconnaitras-tu
Le : 02/12/2008 23:51
Bonsoir ,je recherche un copin du 2 rue nelsone chiérico ,son nom et PECOLLO GUY.
Le : 02/12/2008 23:30
oui Josette c est bien Pierrette du cafe Cadix , elle est toujours aux USA si tu remonte plus loin dans les messages tu pourra lire plusieurs de ces messagesé Je suis de 1941, A l ecole Rochambeau dans ma classe il y avait une fille ALBANO aussi. peut etre de ta famille je pense que c est Danielle mais pas tres sure
France
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Le : 02/12/2008 21:37
Il y aura une année, le 4 décembre, nous quittait pour toujours Mr Nemmas Mohamed. MOMO.
Tous ceux qui l'on connu, cotoyé et apprécié, se souviennent de sa bonté, et de sa générosité de coeur et d'esprit.
Ayons une pieuse pensée à sa mámoire. Repose en paix MOMO.
Tamene Merzak.
Le : 02/12/2008 19:27
Pour répondre à "Rampe Vallée"
Monsieur Aboudaram était président des Chardonnerets de Bab el Oued, Cette association se trouvait au Bar de la Cigogne, Bd Guillemin. Tchao
Monsieur Aboudaram était président des Chardonnerets de Bab el Oued, Cette association se trouvait au Bar de la Cigogne, Bd Guillemin. Tchao
Le : 02/12/2008 17:56
Bonjour,
Qui se souvient de la rue Rosetti? il y avait là dans l'entresol d'un immeuble, un club où les jeunes (et les moins jeunes) se retrouvaient le soir, on y faisait de la musique, du chant, de la comédie, c'était convivial, chaleureux, que de bons moments ! et un autre je n'en connais plus le nom de la rue,perpendiculaire à l'avenue de la marne, en descendant vers "l'Agéria sports "ce club était dirigé par un sympathique monsieur ! monsieur Aboudaram je crois, secondé par monsieur Ferrandis dans la cave de cet immeuble, on s'y retrouvait pour chanter, nous faisions des petits concerts quelquefois, (fêtes etc)et de merveilleuses sorties ! n'est-ce pas ? Dédé Huguette et les autres !!!
Le : 02/12/2008 17:47
en regardant les photos de l'école rochambeau, j'ai vu 2 photos envoyées par Pierrette CAMPS, je voudrais savoir si s'est la fille du café CAMPS, qui était à l'angle de la rue rochambeau et la rue de cadix, où mes gds parents habitaient, ma mère CORTES Angèle était amie avec la soeur de pierrette, qui je crois s'appelait Germaine, j'étais petite, la Pierrette dont j'avais entendu parler, s'était mariée après la guerre avec un américain et était partie vivre la bas. vu mon age (72) je me demande si c'est cette Pierrette là, je la voie plus vers l'age de maman, si quelqu'un sait qq chose, merci, je me creuse la cervelle avec l'age. mes amitiés à vous tous Josette
Le : 02/12/2008 16:47
De PIERRE pour jogui merci de me remertre en mémoir se jeux ,Amitiés Pierre.
Le : 02/12/2008 12:12
A l'attention de PICCERELLE Pierre.
Pour le jeu de la savate: il fallait une boîte d'allumettes: on grattait une des deux parties noires de la boîte. On désignait à près tirage au sort, qui tiendrait le rôle de juge et celui qui serait le bourreau tenant la savate. On lançait la boîte d'alumettes sur le sol. Il y avait plusieurs possibilités:
1°) la boîte tombait face avant, on rejouait.
2°) " " " face noire, on gagnait d'être le bourreau
3°) " " " face grattée, on devenait juge
4°) " " " debout, on devenait juge et bourreau
5°) " " " face bleue, à ce moment, on perdait et là c'était à la demande du juge une condamnation à recevoir X coups de savate. Le plus dur était de tomber sur un juge un peu vache parcequ'il demandait au bourreau de frapper le perdant, soit assis, soit debout ce qui était le plus difficile pour le puni. Puis on continuait et inutile de vous dire que ce jeu n'était pas pour les fillettes. On rentrait à la maison avec souvent les mains rouges ce qui ne nous empêchait pas de recommancer le lendemain.
Quand aux tchapes, c'était avec le couvercle des boîtes d'allumettes: On tenait le couvercle entre la première phalange du pouce et l'index, puis on jetait la tchape contre un mur, le gagnant était celui qui était le plus près du mur, il ramassait les tchapes et les jetait en l'air: celles qui tombaient côté face étaient gagnées par le vainqueur, les autres étaient rejouées par le vaincu et ainsi de suite.
A bientôt. Tchao
Pour le jeu de la savate: il fallait une boîte d'allumettes: on grattait une des deux parties noires de la boîte. On désignait à près tirage au sort, qui tiendrait le rôle de juge et celui qui serait le bourreau tenant la savate. On lançait la boîte d'alumettes sur le sol. Il y avait plusieurs possibilités:
1°) la boîte tombait face avant, on rejouait.
2°) " " " face noire, on gagnait d'être le bourreau
3°) " " " face grattée, on devenait juge
4°) " " " debout, on devenait juge et bourreau
5°) " " " face bleue, à ce moment, on perdait et là c'était à la demande du juge une condamnation à recevoir X coups de savate. Le plus dur était de tomber sur un juge un peu vache parcequ'il demandait au bourreau de frapper le perdant, soit assis, soit debout ce qui était le plus difficile pour le puni. Puis on continuait et inutile de vous dire que ce jeu n'était pas pour les fillettes. On rentrait à la maison avec souvent les mains rouges ce qui ne nous empêchait pas de recommancer le lendemain.
Quand aux tchapes, c'était avec le couvercle des boîtes d'allumettes: On tenait le couvercle entre la première phalange du pouce et l'index, puis on jetait la tchape contre un mur, le gagnant était celui qui était le plus près du mur, il ramassait les tchapes et les jetait en l'air: celles qui tombaient côté face étaient gagnées par le vainqueur, les autres étaient rejouées par le vaincu et ainsi de suite.
A bientôt. Tchao