Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

A l'attention de PICCERELLE Pierre.
Pour le jeu de la savate: il fallait une boîte d'allumettes: on grattait une des deux parties noires de la boîte. On désignait à près tirage au sort, qui tiendrait le rôle de juge et celui qui serait le bourreau tenant la savate. On lançait la boîte d'alumettes sur le sol. Il y avait plusieurs possibilités:
1°) la boîte tombait face avant, on rejouait.
2°) " " " face noire, on gagnait d'être le bourreau
3°) " " " face grattée, on devenait juge
4°) " " " debout, on devenait juge et bourreau
5°) " " " face bleue, à ce moment, on perdait et là c'était à la demande du juge une condamnation à recevoir X coups de savate. Le plus dur était de tomber sur un juge un peu vache parcequ'il demandait au bourreau de frapper le perdant, soit assis, soit debout ce qui était le plus difficile pour le puni. Puis on continuait et inutile de vous dire que ce jeu n'était pas pour les fillettes. On rentrait à la maison avec souvent les mains rouges ce qui ne nous empêchait pas de recommancer le lendemain.
Quand aux tchapes, c'était avec le couvercle des boîtes d'allumettes: On tenait le couvercle entre la première phalange du pouce et l'index, puis on jetait la tchape contre un mur, le gagnant était celui qui était le plus près du mur, il ramassait les tchapes et les jetait en l'air: celles qui tombaient côté face étaient gagnées par le vainqueur, les autres étaient rejouées par le vaincu et ainsi de suite.
A bientôt. Tchao

Bonsoir a tous ,je voudrais parler des jeux de la savate et de la fique de barbarie et des boites dalumettes que lon appeler les chtape. Amitiés a tous.

Je recherche un camarade d'enfance que j'ai rencontré environ un an et demi avant mon départ d'Algérie en mai 1962. On jouait sur la place du 11 Boulevard Guillemin à Alger, sur les rampes des escaliers se situant à côté du café nommé "Le Faisan d'or" . Si mes souvenirs sont exacts il était de l'année 1950 ou tout au plus 1949, son grand-père était souvent attablé à ce café, ce camarade habitait à El Bihar en pavillon, je me souviens qu'il avait deux soeurs plus âgées; Il m'avait même raconté que le jour de sa naissance, son grand-père étant chez le coiffeur lorsqu'on lui a appris la naissance de son petit fils (le seul garçon après deux filles), est parti de chez le coiffeur sans avoir fini sa coupe de cheveux tant il était heureux ! cet ami s'appelait : Simon Obadia, nous étions très liés.
Si il se reconnaît ou si quelqu'un le connaît, cela me ferait vraiment plaisir d'avoir de
ses nouvelles après 45 années déjà passées...
Jean-Pierre CHICHE

Bien le bonjour Garguilo.Giro,
bien le bonjour les amis de ce site.
Merci pour tes récits sur la pêche , oh que de souvenirs, j´ai connu tout cela et la pêche au palangrier de la madrague avec notre trés bon voisin et ami Mr Armand André, le seul spécialiste en pompe á injection sue la place d´Alger alors nous étions souvent sur les chalutiers dans le port d´Alger et ailleurs et bien sûr souvent invité á des sorties, pêche á la crevette et autres. Au harpon á Miramar et alentours.
Amitiés Sellam

Enfin St Vincent de Paul qui se réveille,Michelle, réponse sur mail perso

Née à Bab El Oued en 1945 Scolarisée chez les religieuses de St Vincent de Paul (à coté de l'Eglise St Joseph) puis à l'école de la rue Camille Douls, dans la classe de Mme ROLAND, je serais heureuse de retrouver GISELE et NICOLE SALASC qui habitaient également rue Camille Douls, au 6 il me semble. Leur Papa était facteur. Elles avaient une autre petite soeur qui se prenomait Michèle et un petit frère Jean Pierre. Je serais ravie d'échanger des souvenirs avec qui pourrait se souvenir de moi, je pense aussi à Marie France HUOT ! Peut-etre aurais-je la surprise d'une réponse ?

Qui se souvient,du café des "Quatre Nations" à Bou-Haroun,village qui se trouvait après Castiglione? .

bonsoir a vous tous
je surf sur le net pour trouver quelques choses concernant mon village natale N'gaous wilaya de Batna - Algérie-
je suis de N'gaous et jhabite a Marseille.
voila j'ai tombé sur cette manifique photo de :
Mme Victorine THORE, épouse DAMON de Guyotville, institutrice à N'Gaous (près de Batna) avec ses élèves en 1930-1931
(photo de Henri AGULLO).
ma demande est ce que Mme Victorine est toujours vivante?
est ce qu'il ya quelqu'un qui connaisse les autres personnages dans cette photo ?
et est ce que je peut contacter Mr Henri Agullo pour avoir une copie de cette photo?
merci d'avance et bonne continuation.
amicalement
abdessalam

bjr, je voudrais envoyer 7 photos de l'école ROCHAMBEAU, de 1940 à 1950
et je ne sais comment faire, merci si vous pouvez me conseiller - Josette

Bonjour et merci ,pour Christian de Pierre,pour avoir mie les nom sur les photos décoles.remerciment et amitiés, Pierre