Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

A Merzak

J'ai appris avec emotion, que le Cafe de la Marine etait encore là
Si ses murs pouvaient parler que raconteraient-ils
des parties de scoppa,deronda avec l'accent napolitain
des joueurs assis en califourchon jouant aux cartes tout en ayant un oeil sur les bateaux rentrant au port
Malgré la démolition de ce quartier dûe suite à l'accident connu de beaucoup de monde
Certains marins,bien que du Quartier des Italiens à BEO,venaient se rencontrer en ces lieux attendant une eventuelle embauche
discutaient du prix du poisson,des quantités prises
le Shipchandler a la facade grise existe-t-il encore?C'est là et dans la descente de la Pêcherie qu'on se fournissait en crin et hameçons
les plus aisés monetairement parlant y achetaient des pulls marins



Objets inanimés avez vous une âme?

pour Mary.B
envoyez moi sur mon adresse mail l'une de vos photos pour voir de quel type de fichier il s'agit et je tenterai de la modifier sur mon logiciel de retouche et vous la renverrai avec les commentaires.
meilleurs souhaits 2009 ainsi qu'à tous les amis du site

Pour Pierrette.

Effectivement, la patisserie du Bd de Provence prés de l'Olympic tenue par les Martinez, c'était La Poire d'Or. La fille Laurence, doit aujourd'hui avoir votre âge.
Quand à la Princesse, elle existe toujours et se trouve Ave des Consulats.
Bonne journée.
Tamene Merzak.

Bonjour et Bonne année à Tous !!!

Une petite devinette à tous les nostalgiques et amoureux de leur ville natale "ALGER" et surtout à tous ceux qui ne peuvent pas y aller.

1°) Elaborée avec la fonte des canons des Turcs.
2°) Etait le symbole de la capitale
3°) Nous la connaissons tous pour y être passés aux alentours des milliers de fois.

Qui est-elle ????

Ceux qui ont trouvé, Bravo !!! Pour les autres, elle vous attend dans les photos de ce site à la rubrique "Alger".

Le Président et le Conseil d'Administration des Anciens et Amis de Bab el Oued vous présentent leurs meilleurs voeux pour la Nouvelle Année 2009.
Rejoignez nous nous avons besoin de vous, merci.

Merci Merzak. En effet j'ai quitté Alger en 1945..c'est pourquoi des fois ma mémoire a des creux! Par example je suis presque certaine que mon frére Guy (Camps) a appris à faire la patisserie chez les Martinez, qui etait située pres de notre Cafe' en allant au marche'de Bab el oued..est ce que cette Patisserie s'appelait "LA PRINCESSE"? Je ne sais pas?

Mais ce que je sais, c'est que tous les apprentis, les ouvriers, qui faisaient leurs formations au lieu d'aller á l'école,dans ces temps la' avaient une fondation solide; qu'ils ont pu utiliser plus tard en France apres 62! Mon frére Guy a ouvert sa Patisserie à Salon de Provence..et la' il faisait les Mounas à Pâques ainsi que les galettes de Rois..Inutile de dire qu'il avait une grande clientéle parmis les Pieds Noirs de la ville. Et même maintenant des années aprés qu'il a vendu la patisserie a' son commis,(qui avait commencer comme Guy a l'age de 14 ans)le nom de "Guy Camps" est toujours au dessus de la porte de la Patisserie.

Mes enfants ici en Amerique des fois me demandent " Mom comment tu te rappelles toutes ces choses là?"... Va savoir!
Bonne année quand même a' tous.

Pierrette

Juste pour dire qu'il y a erreur sur l'heure à laquelle on envoir les messages. Salut à tous et bonne. Epiphanie

Qui pourrait me renseigner.Je voudrais faire un diaporama de phots prises sur internet,seulement elles ressortent avec une bande noire de chaque coté.Je voudrais bien y mettre un fond uni ou imprimé mais je ne sais pas comment mi prendre(est ce que c'est possible?)Merci a toute personne qui pourra m'aider.Une personne de B.E.O.

Décembre à Alger.

Auguste Autuori et Michel De Vellis " Meniel " 2 membres de la Clique des Messageries, ont passé quelques jours à Bab El Oued, rejoints par des amis résidents dans différentes parties d'Europe.
Un pélerinage féerique où tout y était: émotion, larmes, joie et peine. Un peu court, mais comme disait Auguste " pour rester sur sa faim " et revenir.
Nous avons parcouru les rues, les ruelles et les placettes qui nous ont vu grandir.
Nous avons passé 2 heures au Café de la Marine un vendredi où il y avait foule, et c'est Bd Anatole France, en face du Sport Nautique, de l'Amirauté, et juste au dessus du petit hopital de la Santé Maritime devenu " Le Dauphin ", que nous avons pris des thés à la menthe, les verres sur le parapet, face à la mer.
Même le temps était de la partie. Un ciel bleu à couper au couteau, un soleil éclatant, et une légère brise marine, " juste ce qu'il faut ".
Beaucoup de joueurs de foot, anciens et nouveaux, entourant un Meniel ému. Beaucoup l'on reconnu, d'autres ont essayé. Il y avait même un vieil homme, presque nonagénaire, le regard vivace et les larmes aux yeux, qui, l'ayant reconnu, lui demanda s'il voulait partager avec lui le couscous aux fèves du vendredi, avec sa modeste famille. Mais cela ne s'est pas fait, vu le programme chargé, et les invitations fusant de partout.
Mais il faut le dire, ces 2 heures passées au Café de la Marine entourés de tous ces enfants d'Alger, étaient un peu une oasis de stabilité entre les épisodes à 100 à l'heure de ce séjour.
Merci Auguste et Meniel, vous qui, par votre seule présence avez recrée pour quelques jours cette atmosphère. Merci à l'immense Boucetta et sa famille pour leur disponibilité, leur gentillesse et leur générosité. Merci à Rachid et tous les autres, connus ou inconnus.
Merci à Trivès, Bisbal, Sauveur et les autres de nous faire rêver. Merci à Pierette pour ces anecdotes sur un Bab El Oued pittoresque des années 40 que nous avons mal connu, pour des raisons évidentes.
C'est grace à tous ces hommes et ces femmes, que nous comprenons que le livre des merveilles n'est pas définitivement fermé.
Aprés la Clique des Messageries, j'espère que ce sera au tour de la Clique de la Consolation.
Bonne fin de week-end à toutes et à tous où que vous soyez.
Tamene Merzak.

Le gâteau des rois, c'était un peu comme chez Marie-Jeanne mis à part qu'on était très nombreux.
Mon grand-père s'appelant Gaspard... ma grand-mère faisait une grande marmite de chocolat, du vrai et toute la famille nombreuse de ma mère était là. C'était très chouette car on se retrouvait cousins cousines et on jouait dans la rue Nelson Chiérico.
Et puis ça n'en finissait plus car ceux qui attrapaient les fèves allaient acheter soit du muscat, soit une autre couronne.
On dévalisait la boulangerie SABA qui était dans la rue qui coupait la rue de Normandie et Jean Jaurès. Elles étaient délicieuses avec une croûte de praliné sur le dessus.
J'en ai l'eau à la bouche. Jamais j'en ai mangé de si bonnes.