pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : ArletteEnvoyer un mail

Le : 20/11/2009 17:57

A Jacqueline RIQUELME,

Bonsoir,

Je vous remercie et je suis heureuse que vous m'ayez donné des nouvelles des mes coiffeuses.
Amitiés

 

De : Jacqueline RIQUELMEEnvoyer un mail

Le : 20/11/2009 17:09

Nos gentilles coiffeuses Marie et Lisette, habitent à Alicante en Espagne, toujours aussi souriantes et sympathiques que lorsque nous étions au Pays, elles seront contentes de savoir que leurs anciennes clientes se souviennent toujours d´elles....

 

De : ArletteEnvoyer un mail

Le : 20/11/2009 16:15

bonjour à vous tous,

Cette semaine sur le Nouvel Obs il y a un témoignage de la fille d'Albert Camus, très intéressant à lire.

 

De : ArletteEnvoyer un mail

Le : 20/11/2009 16:11

Bonjour Jeannine

Ah! ces permanentes que nous faisaient faire nos mamans pour que l'on soit bien frisées. Ma coiffeuse c'était Marie son salon était situé en haut de l'avenue de la Bouzaréah. C'était une horreur ces bigoudis lourds et chauds qui pesaient sur nos petites têtes. D'ailleurs dès que le premier était posé à gauche la coiffeuse posait l'autre à droite pour faire aussitôt contre poids. Elle nous mettait du coton pour ne pas nous bruler le crane. Nos mamans étaient fières et nous en avions pour notre argent, nous restions frisées pendant longtemps. Je pense que ma première permanente j'ai du la subir à l'âge de 3 1/2 ans, c'était pour être demoiselle d'honneur à un mariage. Quand je revois la photo j'ai de belles anglaises.
Toutes mes amitiés

 

De : malkiEnvoyer un mail

Le : 20/11/2009 12:09



Bien le bonjour à vous Christian...

... Bonne fete Christian, avec un souffle bien fort de Bab el oued
qui vous salue encore trés fort de l'autre rive de la mediterraanée
soyez certain que notre pensée va bien souvent vers vous.
amicalement votre Mourad.

 

De : SalvEnvoyer un mail

Le : 20/11/2009 12:07

Bonjour à Tous

Albert CAMUS ,premier PN,à entrer au Panthéon?

 

De : MEDIONI DavidEnvoyer un mail

Le : 19/11/2009 16:05

Bonjour à toutes et tous,

Je sais que je vous casse les pieds avec ma "Campagne OUALID" mais je realise avec l'aide de descendants de la famille OUALID un livret qui regroupera tous pleins d'informations.

J'ai besoin de votre aide :

si vous avez des photos, documents, informations, souvenirs.... concernant la Campagne OUALID je suis preneur de tout cela et je vous promets de vous faire un retour des que j'aurai regroupe le maximum d'infos.

Contactez moi sur mon email personnel ca evitera d'engorger le site de Christian a qui je transmets mes amities ainsi qu'a son epouse.

Merci à vous tous.

Babelouedement votre

David MEDIONI

 

De : marie-jeanneEnvoyer un mail

Le : 19/11/2009 12:00

Chez lisette la reine de la frisette j'me souviens comme-çi c'était hier, la permanente à chaud avec le crâne cramé de quoi d'venir "pélocha". Elle me mettait un gros coussin sous le "tafanar" avant de m'enfourner sous le casque et j'avé l'air de caliméro "trop'injuste".
Une autre fois, je devais avoir 9/10 ans, un jour où dehors ça tirait dans les coins, Lisette et moi nous nous étions refugiées dans sa p'tite réserve au fond de la boutique fermée par un simple rideau. Ah ! l'instinct maternel, Lisette faisait barrage de son corps et se voulait protectrice. Effectivement ma tête prise entre ses deux seins comme des "airbags"(vue la grande de la remise) j'ai failli, "j'crache parterre si j'mens !" étouffer. Le calme revenu la permanente pouvait reprendre ! avec "le sousto" que j'ai eu, la permanente elle a pas pris, il a fallu recommencer le lendemain ! c'est trop injuste !

 

De : jeannineEnvoyer un mail

Le : 19/11/2009 01:10

je me souviens de lisette la coiffeuse
ma mère aller chez elle
elle m'avait fait une permanente pour ma communion
souvenir souvenir
quand a moitie son neveu et mon radiologue

 

De : CRESPIN LEnvoyer un mail

Le : 18/11/2009 16:34

Qui se souvient du salon de coiffure pour femmes
chez Lisette juste en face l'arrêt du tram, à côté de la pharmacie et presqu'en face de Moati.
Le samedi dès l'ouverture il y avait une foule pas possible. Le fils Félix allait à la maternelle de la rue de Normandie.

 

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