pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Alain BlancEnvoyer un mail

Le : 29/11/2009 12:27

Bonjour POLITO,
Je constate que vous habitiez au 23 rue Léon Roches.
C'est là qu'habitait aussi un de mes meilleurs copains d'école : Jacky COHEN.
Savez-vous ce qu'il est devenu ?
Merci si vous pouvez me renseigner.
Confraternel salut babelouédien !

 

De : Alain BlancEnvoyer un mail

Le : 29/11/2009 12:16

A l'attention de DOMENECH née JUAN France
Bonjour,
Je lis que vous habitiez dans la rue Mazagran.
Ma marraine et mon parrain y habitaient aussi, ainsi qu'une cousine, à la même adresse,au n°5. C'étaient Madame Ilda VUOLO et son époux, Sauveur VUOLO qui était tailleur pour la Marine. Ma cousine, Rose Trnci qui a divorcé et est redevenue Rose Cardona et ensuite Rose LIGUORI après un second mariage. Elle avait une petite horlogerie-bijouterie à la rue du Roussillon vers le marché. Ma tante, la mère de Rose habitait rue Rochambeau dans le même paté de maisons.
Rose est décédée l'an dernier. Elle avait perdue sa fille aînée Christiane, il y a de nombreuses années et encore un fils du 2e mariage.
Les VUOLO aussi sont décédés, lui à Alger en 1962, elle il y a une trentaine d'années, leur fils unique, un peu plus avant.
Ce petit texte n'est pas très agréable mais on doit savoir: c'est le seul moyen de constater que le temps passe...
Je vous adresse un fraternel souvenir de Bab El Oued.
Alain Blanc

 

De : Alain BlancEnvoyer un mail

Le : 29/11/2009 11:58

Bonjour Pierre PICCERELLE.
Je constate que tu es un fidèle de ce site : c'est bien.
je me pose souvent la question de savoir que sont devenus tous les tiens. Ta maman, ton papa, Vincent, pour Georges, je sais, Michel, Thérèse, Jean-François (je crois), je n'arrive pas à me souvenir du 7ème, excuses-moi.
Je te raconterai ce que nous sommes tous devenusn nous aussi.
... Le temps passe, les souvenirs restent... c'est vrai.
Salut et à bientôt, j'espère. Alain Blanc

 

De : Michele Yela epouse De MaioEnvoyer un mail

Le : 28/11/2009 20:15

Un grand chemin depuis la Basseta... New York ou j'habite depuis 40 ans
J'ai eu beaucoup de plaisir et de peine a revoir Bab-El-Oued. J'y suis nee en 1943 a la Clinique Verdun. J'habitais rue Nelson Chierico, rue adjacente a la rue Nobel et le haut de la rue des Moulins. Une des photos qui est intitulee Padovani, a mon avis, il s'agit des Deux Chamauds, une plage pres de St Eugene. De toute facon cela m'a fait du bien de revoir et le Cimetiere n'a pas l'air d'avoir trop "souffert" J'en suis ravie. Peut etre qu'avec ce message je pourrais "reconnecter"
Merci encore.
Michele De Maio

 

De : VincentEnvoyer un mail

Le : 28/11/2009 13:27

FELICITATIONS AU NOUVEAU BUREAU DE L'ABEO,SANS OUBLIER DE REMERCIER LES ANCIENS QUI ONT TOUS BEAUCOUP TRAVAILLE

 

De : JOGUIEnvoyer un mail

Le : 28/11/2009 12:20

Cette épicerie de Madame Nivart, qui se trouvait à côté du cinéma Rialto, était un magasin un peu spécial. Vous vouliez une cigarette, elle vous la vendez, en ouvrant un paquet, vous ne vouliez qu'un seul bonbon, (car nous n'avions pas trop de sous,) elle vous le vendez, et combien de choses encore, comme les cachets d'aspirine au détail;
Allez voir maintenant un commerçant de ce type, INIMAGINABLE. Je me demande si cette épicerie n'a pas servi de modèle aux drugstores américains quand ils ont débarqué en AFN. Enfin, je blague, mais qui sait? Puis, cette ruelle était baptisée "impasse François Serrano", elle
se terminait dans la rue du même nom, et en effet, il y avait un petite cour où nous qui habitions la maison Mari, allions faire des parties de foot, de noyaux, nous jouions à saute mouton ou à Fava-Vinga, à la toupie, aux cartes, à la coca (avec de la terre glaise, nous on disait la terre anglaise), à la Mora etc, etc. Quelle belle enfance nous avons eu et que de souvenirs inéffaçables nous restent en mémoire. Gardons-les, faisons les partager. A la prochaine.

 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 28/11/2009 09:12

A L'ATTENTION DE CHERIF ET MICHEL
Ne vous arrêtez pas! Continuez de raconter là-bas. C'est de notre trésor qu'il s'agit; un butin estimé à des tonnes d'Amour que l'on garde secrètement au fond de notre coeur à jamais.
Dépêchez-vous, il ne reste plus beaucoup de temps...

 

De : ABEOEnvoyer un mail

Le : 27/11/2009 20:07

Infos
Le Conseil d'Administration de l'ABEO du 23 novembre 2009
a élu son nouveau bureau.

Président; René SANCHEZ
Vice presidente: Viviane LIGUORI
Vice Président: Antoine BRICOTIN
Secrétaire: Christiane SANCHEZ
Secrétaire adjointe : Marie Jeanne LAMBERTI
Trésorier intérimaire : René SANCHEZ
Trésorier adjoint : Alphonse LAMBERTI

Ils sont à votre disposition à la Cité des Rapatriés 496 rue paradis 13008 Marseille téléphone 04 91 77 72 58 fax 04 91 77 72 64
Permanence tous les lundis.



 

De : CherifEnvoyer un mail

Le : 27/11/2009 20:02

à Michel, à Liliane,
Il est un autre personnage qu'il faut évoquer, dans cette épicerie de mme Nivard. Il s'agit d'une vieille dame souvent présente dans le magasin. J'ai toujours pensé qu'il devait s'agir de la mère de la chaleureuse épicière. Vous rappelez-vous sa devanture garnie de toutes sortes de bonbons de notre temps? Quand à l'impasse dont vous parlez Michel, ce n'en était pas une,toute à fait . Ce passage communiquait avec le haut de la rue François Serrano, par un escalier. En haut de cet escalier , il y avait une courrette dans laquelle on jouait à la balle-prisonnier.

 

De : michel suchEnvoyer un mail

Le : 27/11/2009 17:16

à Liliane.
A chacun sa madeleine de "proutt". Pour moi, Madame Nivart c'était les montagnes de morues séchées, les barils d'enchois au sel et les tubes de coco. Madame Nivart... Combien de fois je me suis senti cagueux avec la bouteille d'huile qu'il me fallait faire remplir à crédit. Parfois l'attente était longue mais je repartais toujours avec ma bouteille d'huile d'olive remplie ou le morceau de pain de sucre. C'est vrai aussi que ma grand-mère maltaise, vous savez??? Angèle, celle qui soignait les coups de soleil et l'infite... C'est avec cette huile d'olive, que de temps en temps, elle frictionnait le ventre de Madame Nivart pour la soulager de je ne sais quel mal. Quant aux pains de glace, c'était ma hantise. Envellopés dans du papier journal, ils me brûlaient les doigts.Plus d'une fois, ils ont dégringolé ces putains d'escaliers abruptes qui me menaient au bout de la rue François Serrano, cette rue en impasse avec la menuiserie, le garage Galléa, et mon copain Muscat avec qui je jouais à la savate...

 

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