Liste des messages
De : La Clique des Messageries
Le : 21/12/2009 23:13
Avec la coulatoure d'Auguste,et les zouzamiels de Merzak
la pizzalascarole(garnie d'olives noires,d'anchois de Chiffalo et d'ail)
sur une plaque en tole noire avec les bords relevés qui cuisait dans le
four à bois sous l'oeil du gentil Kadour le boulanger de La Poire d'Or
dans la cour de la rue des Messageries faisait partie du repas de Noel
Dans notre cuisine un petit fourneau posé sur le potager prés de l'évier
avec dans le four les ANGENETTES
Joyeux NOEL à TOUS
la pizzalascarole(garnie d'olives noires,d'anchois de Chiffalo et d'ail)
sur une plaque en tole noire avec les bords relevés qui cuisait dans le
four à bois sous l'oeil du gentil Kadour le boulanger de La Poire d'Or
dans la cour de la rue des Messageries faisait partie du repas de Noel
Dans notre cuisine un petit fourneau posé sur le potager prés de l'évier
avec dans le four les ANGENETTES
Joyeux NOEL à TOUS
De : Alain Blanc
Le : 21/12/2009 20:49
Qui a connu la famille ESPALARGA, rue Fourchaut et la famille ATLANI, rue de l'Alma ?
Merci si on peut m'aider.
Merci si on peut m'aider.
De : Robert Falzon
Le : 21/12/2009 18:28
Bonjour á toutes et á tous
Je vous souhaite de passer en famille un Joyeux Noêl
et une Bonne et Heureuse Année 2010,de revoir aussi
le maximum d´entre nous début juin á Rôgnes
Amicalement Robert
De : PICCERELLE PIERRE
Le : 21/12/2009 16:58
Bonjour de Pierre Piccerelle pour scognamiglio ,le marchant de livres étais sur les marches de la boulangerie ripoll qui étais aux coin et en face de yborra et du jardin car moi ausis je lui acheter des livres j'abité le 3 rue nelsone chiérico le vendeur etais un algerien amitiés Pierre.
De : pierre
Le : 21/12/2009 14:35
salut b e o et surtout dede trives dit le balèze dela place lelièvre le champion de france de judo 1962 l alterofile etc etc et l ecrivain enfinsur le quartier ça fait plaisir de te retrouver sur le net meme si jedebute donc je tatone comme a l ecole avec mr folleti ou mr ascione ou levy lozata ou benzaken ou mrs germain stora peuto bensimon françon massé mme farrudja et son fils j p le cinema dans la double salle de mr moll avec georges landois projectioniste bref j arrete pour aujourd hui en souvenir des noel de la bas des noel de chez nous tchao fils
De : Merzak
Le : 21/12/2009 12:59
JOYEUX NOËL A TOUTES ET A TOUS
Merzak.
De : Moreno
Le : 21/12/2009 11:43
Bonjour: Que la magie de nöel, vous apporte à toutes, et tous: La joie, le bonheur, la santé. Et que la paix régne enfin sur cette terre.
JOYEUX NOEL
JOYEUX NOEL
De : André TRIVES
Le : 21/12/2009 11:01
NOEL A LA PLACE LELIEVRE
Souvenez-vous mes amis de ces moments impérissables d'enfance...
Les galoches étaient soigneusement alignées devant un somptueux sapin tout illuminé. Mille guirlandes brillaient de branche en branche avec une bougie en équilibre à l'extrémité chargée de neige. L'âtre de la cheminée rougeoyait de braises incandescentes et entretenait une chaleureuse fraternité. Les bûches crépitaient sous le regard ébloui des enfants. Des monticules de cadeaux multicolores cachaient leur surprises dans l'attache d'un ruban rose bonbon. La neige tombait en abondance et couvrait les toitures en pointe des maisons. Un chariot tiré par quatre rennes souriants faisait sa tournée et nous donnait l'espoir que le Père Noël ne nous oublierait pas. C'était ça, notre noël à Bab el Oued, tous les mois de décembre, lorsque notre maîtresse, Madame Winckler sortait du porte-carte rangé au fond de la classe, la gravure qui allait servir à notre leçon de vocabulaire. Devant notre surprise d'un tel décor enneigé, elle nous précisait que cela se déroulait ainsi dans le nord et dans les montagnes. Nous avions du mal à comprendre car nous aussi on habitait dans le nord mais de l'Afrique, et nos montagnes s'appelaient Sidi Bennour, Bouzaréah ou Notre Dame d'Afrique. Chez nous, nos galoches c'étaient des "Tchanglès" et Noël se passait au balcon. Parfois la neige recouvrait les rues pour quelques heures, Bab el Oued grelotait par surprise, et les maudites engelures contractées dans la cour de l'école nous faisaient souffrir au retour dans les classes, les mains coincées entre les cuisses gelées.
C'était il y a 60 ans, et je glisse toujours mes doigts entre les cuisses lorsque j'ai froid, comme je le faisais à l'école de la place Lelièvre quand j'avais 10 ans.
Souvenez-vous mes amis de ces moments impérissables d'enfance...
Les galoches étaient soigneusement alignées devant un somptueux sapin tout illuminé. Mille guirlandes brillaient de branche en branche avec une bougie en équilibre à l'extrémité chargée de neige. L'âtre de la cheminée rougeoyait de braises incandescentes et entretenait une chaleureuse fraternité. Les bûches crépitaient sous le regard ébloui des enfants. Des monticules de cadeaux multicolores cachaient leur surprises dans l'attache d'un ruban rose bonbon. La neige tombait en abondance et couvrait les toitures en pointe des maisons. Un chariot tiré par quatre rennes souriants faisait sa tournée et nous donnait l'espoir que le Père Noël ne nous oublierait pas. C'était ça, notre noël à Bab el Oued, tous les mois de décembre, lorsque notre maîtresse, Madame Winckler sortait du porte-carte rangé au fond de la classe, la gravure qui allait servir à notre leçon de vocabulaire. Devant notre surprise d'un tel décor enneigé, elle nous précisait que cela se déroulait ainsi dans le nord et dans les montagnes. Nous avions du mal à comprendre car nous aussi on habitait dans le nord mais de l'Afrique, et nos montagnes s'appelaient Sidi Bennour, Bouzaréah ou Notre Dame d'Afrique. Chez nous, nos galoches c'étaient des "Tchanglès" et Noël se passait au balcon. Parfois la neige recouvrait les rues pour quelques heures, Bab el Oued grelotait par surprise, et les maudites engelures contractées dans la cour de l'école nous faisaient souffrir au retour dans les classes, les mains coincées entre les cuisses gelées.
C'était il y a 60 ans, et je glisse toujours mes doigts entre les cuisses lorsque j'ai froid, comme je le faisais à l'école de la place Lelièvre quand j'avais 10 ans.
De : Liliane CRESPIN
Le : 21/12/2009 09:52
Pour sconamiglio :
Dans la rue Nelson chiérico, il y a avait juste côté place Dutertre l'épicier qui n'avait pas de jambes et était assis derrière son comptoir, il s'appelait Tonio Yborra mais on disait chez Pérez nom de l'anciern proprio.
Et l'autre côté de la rue, un café en angle et au coin un marchand de légumes qui rangeait le soir ses légumes sous le café côté rue N Chiérico.
Il n'y avait pas d'autres commerces, à mon avis tu dois te tromper de rue.
Amitiés PN.
Dans la rue Nelson chiérico, il y a avait juste côté place Dutertre l'épicier qui n'avait pas de jambes et était assis derrière son comptoir, il s'appelait Tonio Yborra mais on disait chez Pérez nom de l'anciern proprio.
Et l'autre côté de la rue, un café en angle et au coin un marchand de légumes qui rangeait le soir ses légumes sous le café côté rue N Chiérico.
Il n'y avait pas d'autres commerces, à mon avis tu dois te tromper de rue.
Amitiés PN.
De : andree atlan
Le : 21/12/2009 09:47
IL FALLAIT LIRE
LE PEU QUE NOUS AVIONS NOUS RENDAIENT HEUREUX
ANDREE
LE PEU QUE NOUS AVIONS NOUS RENDAIENT HEUREUX
ANDREE
