tu étais craquante petite. j'étais au cp en 1959, c'est moi au-dessus du petit garçon brun (Pierre) le fils de la maitresse) à l'école Lutaud

Bonsoir Perlette,
ta cousine je ne sais pas ce qu'elle fait, les ôtes non plus. Je viens de retrouver une cousine germaine perdue de vue depuis 62, je la cherchais, elle me cherchait, et on s'est retrouvée. Peut-être des retrouvailles physiques pour ce mois de juillet. biz à toutes
Talina

Marie-Paule, ma parole ! je suis à 27 km d'Avignon, alors ma voisine de patelins, tu es du côté du Mont Ventoux ou de Bollène, moi je suis à Carp.... Vous avez réussi à vous placer géographiquement sur le plan ?
Zakia, t'inquiète pas pour les fautes, on ferme les yeux, on regarde pas, l'essentiel c'est que l'on se comprenne même dans nos pataouettes. 
Dimanche prochain ou tous le coqs rentre à la maison, ou il va falloir patienter encore quelques jours en attendant cot cot cot cot cot cot !
Talina

En parlant d'entorse, je me souviens que mon père remplissait une bouteille d'1 litre d'eau chaude et nous demandait de la faire rouler avec le pied quand nous nous étions tordus la cheville.
De même ma mère appliquait une pièce de 10 francs (de l'époque) sur les bosses que nous nous faisions à la tête, au front. Elle était maintenue à l'aide d' un foulard.
Nous étions 7 alors forçément il y en avait toujours un qui avait un petit bobo.

Mon père pour nous faire rire chantait à tue tête : fô rigoler ! fô rigoler pour pas que le ciel nous tombe sur la tête, fô rigoler ! fô rigoler pour pas que le ciel nous tombe sur le nez !
qui a été au salon de l'enfance au foyer civique au champ de manoeuvre, c'était une fois par an (fevrier/mars) il y avait de grandes poupées gonflables dans le ciel, on entendait Dalida chantait "reviens donc ici petit gonzales.... et dario moréno qui chantait un petit biquini, tout petit biquini qu'elle mettait pour la première fois... Allez bonne fête pour le match gagné et bonne nuit pour les ôtes

les pois chiches grillés se sont les bliblis on disait zoublis. il y avait les pailles remplies de coco, et les petites boites rondes bleus ou rouges ou argentées remplies de coco (réglisse poudre) fallait pas rire en même temps qu'on le mangeait, ça rentrait dans les trous de nez. Il y avait le bonbon rond, quand on le suçait il passait par toutes les couleurs, a la fin il y avait un chewingun je crois, ou une graine d'anis ? Le bâton de réglisse dur me donnait le hoquet.

Vous vous rappelez les marchands de cacahouettes ! pour 1 centime on avait un gros caramel, ils vendaient aussi des "zoublis" dans du papier journal. Dans notre rue venait le marchand de maîs, figues de barbarie, pastèques sur sa charrette, ce devait être le même.
Talina

Salut les filles, pour finir la chanson "3 petits cochons" c'est "combien en veux-tu?... les souvenirs de làbas vous les avez mis où? papotages ! papotages ! mais c'est pas grave- on rigole de vous lire. Ma mère nous emmenait voir les ânes du spuare bresson. il était où ton manège Perlette ? moi aussi je tirais la queue enfin j'essayais. Je me rappelle qu'on chantait "sur le pont d'avignon" et savez-vous planter les choux... mes grandes soeurs chantaient, "dans les prisons de nantes..." et ne pleure pas jeannette, à la claire fontaine. on chantait à tue-tête "c'est nous les africains qui revenons de loin..." ma mère nous l'avait apprise. Perlette a parlé de beignets italiens, quel régal ! impossible de retrouver les mêmes, à part les chichis sur les plages du sud. d'ailleurs le marchand de beignets se trouvait à côté du manège.
mon speudo TALINA, puisqu'il y a déjà Chantal.

Est-ce qu'il y aurait une 3ème école st vincent de paul ? Moi je parle de celle qui se trouvait en face l'église ste bonneaventure. regardez sur le plan d'alger du site, à C2 j'habitais rue klémen ader, on traversait la rue de lyon, on remontait  la rue trollier, on passait devant l'église ste bonnaventure( elle y est sur le plan) et l'école était en face, sur le plan rue des villas. Alors qui connaît celle-ci ?