Le : 27/11/2012 11:07
J’ai promis de vous raconter une autre aventure qui nous est arrivé dans notre enfance. Pour toi Jean Paul mon ami cela dois te faire revivre ces bons moments que nous avions partager. Si tu rappel l’aventure de notre ami commun Aliouète, je me rappel comme si c’était hier. C’était un après midi du mois d’Août 1960 cela c’est passé au grand Eucalyptus derrière ta maison, toi comme moi nous avions peur de monter sur cet arbre qui était à l’époque très grand pour nous, peur pas pour l’escalader mais peur de la raclée de nos parents, car cet arbre était à la vue de nos mères, ma mère comme ta mère avaient une vue direct de leurs cuisines sur cet arbre. Pour dénicher les œufs de moineaux nous avions charger notre ami Aliouète d’escalader cet eucalyptus chose qu’il avait fait sans hésitation du moment qu’il habitait un peu loin sur la colline près de la ferme de monsieur Paya, donc aucun risque d’être vue par sa mère. Au bout d’un moment si tu te souviens notre ami avait fait une chute. Dans sa chute une branche s’est brisée et lui avait traversé le poignet. Le pauvre Aliouète était resté suspendu à la branche en pleurant et en criant de douleurs pendant plus de 15 mn, jusqu’à l’arrivée des grands qui jouaient au foot sur la placette et qui l’ont délivré de cette mauvaise posture. La suite tu dois t’en rappeler après la plainte de son père à nos parents, tous les deux nous avions eu droit à notre raclée habituelle des vacances d’été et surtout interdiction absolu de nous approcher aux arbres. A ce jour quand je rencontre aux trois horloges Aliouète il me montre sa belle cicatrice au poignet et quand je veux me moquer de lui en lui disant « Ya kouya (mon frère) » on t’a eu il me répond mais sans rancune « nadène ya makoum » tous les deux toi et Jean Paul Je profite pour te saluer mon frère je t'écrirais sur ta boite perso porte toi bien